© By Alice [/center]

On dit des Alice, qu'elles sont si candides que cela les rendraient attachantes.
Notre Alice à nous ressemble à s'y méprendre à une princesse tout droit sortie d'un donjon qui la retient prisonnière ! Premier cliché, sa longue chevelure aux reflets chocolat : longue oui voir beaucoup plus, depuis combien de temps poussent-ils ? Peut importe, on se contente de les admirer avec une certaine amertume de ne pas avoir les mêmes sur notre tête, cette forme est fidèle à Alice, de plus cette anecdote est plutôt amusante. Laquelle ? Et bien, si vous portez vos yeux au niveau de ses oreilles, vous remarquerez que sa chevelure est coupée dans le but de former deux sortes d'oreilles de lapin baissées; une remarque qui donne à notre Alice une image particulièrement; délicieuse de malice.
Niveau regard, ce sont de douces pupilles violacées auxquelles vous aurez à faire face ! Iris violets qui s'accordent à merveille avec cette sublime robe Bleutée qu'elle porte tout les jours, en même temps c'est normal : c'est celle-ci qu'elle portait lorsque qu'elle a quitté le monde des vivants ... Il est d'autant plus compréhensible, qu'Alice continue de pavaner avec de toute façon, elle ne peut pas en changer étant donné que son corps n'est plus que vapeur qui s'estompe à la moindre bourrasque.

H i s t o i r e

Deux siècles. Revenez deux siècles en arrière et découvrez qui était vraiment Alice Oerba Dia ...

C'est a l'ancienne époque qu'est née cette petite fille, issue d'une famille modeste Alice n'eut qu'une enfance ordinaire : ses parents trop occupés par leur statut la laissaient souvent seule dans sa chambre et comme elle était fille unique, c'était tout comme un déchirement immense lorsqu'on la laissait face à ses quatre murs qui l'entouraient. Aussi, elle avait appris à communiquer avec ses jouets surtout ses peluches, sa collection impressionnante de peluches à l'effigie de chats ! Elles étaient devenues ses confidentes, ses amies, son seul soutient ... Cela était tel, qu'Alice s'enfermait dans cette pièce et ce n'était pas le plus grand problème de ses deux parents qui avaient mieux à faire qu'éduquer leur fille qui peu à peu, sombrait dans la folie.
La folie ...
Elle s'emparait de la jeune fille aussi facilement qu'on aurait même pu croire qu'Alice était consentante quand à sa propre perte ! Oerba Dia'Alice se laisserait-elle mourir dans son coin ? Souhaiterait-elle réellement s'effacer de ce monde pour ne plus avoir à faire à ce dernier ? Tant de questions se posaient jusqu'à ce jour ou la folie décida de prendre forme pour donner un autre sens à l'existence d'Alice. C'était un jour où il faisait si froid, le ciel était couvert de sombres nuages qui laissaient un mauvais présage s'installer dans le coeur de notre petite adolescente. Consignée dans sa chambre, Alice ne su entendre les nombreux appels à l'aide que lançaient ses géniteurs : des appels d'une douleur intense ! Rassurée par le doux sourire de ses peluches, elle n'aurait jamais pu se douter de ce qui se tramait non loin de sa pièce maîtresse seulement, la folie montait les 36 marches qui menaient à Alice. Arrivée a son terme, elle entra doucement, arrivant derrière le dos de la brunette insouciante puis elle l'étrangla, l'immobilisant totalement et ce pour plonger rapidement le poignard déjà trempé de sang dans la poitrine d'Alice qui n'eu même pas le temps d'exprimer un cri de souffrance tant la mort l'avait déjà emportée.
La folie, qui n'était d'autre qu'un meurtrier répandu ces derniers temps traîna le corps meurtri de l'adolescente jusqu'au fond d'une immense forêt qui déboucha sur une bien étrange demeure isolée de toute civilisation : fatigué et satisfait de la distance qui séparait sa victime de l'humanité, il décida d'y déposer son corps devant l'enceinte de l'établissement avant de disparaître soudainement. En ouvrant les yeux, Alice fut surprise de savoir qu'elle était encore capable de mouver son esprit comme une humaine !

Mais Alice, tu es morte.


C o d e

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