les deux hommes venaient de le déposer la . dix minuttes s'était écoulées depuis que l'homme au manteau rouge l'avat déscendu de son dos acompagné du beau jeune homme aux cheveux chatains ( voir: libre mais seul . au pavillon nord ^^pour les petits curieux) le sang perdu l'avait grandement affaiblit tellement qu'il n'avait pas encore rouvert les yeux . des formes noires et rouges dansait a l'emplacement de ses yeux il ne savait meme pas ou il était. ses yeux bien que fermées pouvait discerner des lumières d'une force incroyable pénétrer dans le minuscule espace ouvert de ses yeux.une dixaine de minuttes plus tard ses yeux comencèrent a se rouvrir progressivement .la lumière aggressait ses rétines et dans les premiers instants il était impossible de discerner l'endroit que ce soit des meubles ou encore de la nature de la pièce il forcait néanmoins sur ses yeux pour pouvoir enffin avoir la certitude qu'il etait en sécuritée quand soudain... il vit une table d'opération dans une pièce juste a coté de lui. cette vision fut suivie d'un hurlement perçant. ulrick se redressa sur son lit et arracha ses perfusions laissant du sang couler sur ses draps mais la douleur lui lacérait la poitrire et le premier cri de peur fut acompagné d'un second cri mais de douleur cette fois...il se ralongea contraint et forcé maintenant une main sérée sur son torse pour aténuer la douleur. ces lieux blancs ces tables d'opérations ces éguilles et surtout tout ce lit dans une piece seule lui rapellait de mauvais souvenirs..a vrai dire tout prétait a croire qu'il était retourné dans sa cellule de détention..mise a part , peut etre qu'il n'était pas attaché ce qui le rassurait un peut. il réfléchit rapidement et se dit tout bas

Ulrick :ca crain...si je suis retourné chez ces boureaux je ne serait pas en mesure de m'enfuir cette fois vu mon état...il me faut une arme

le vampire atrapa donc le catether servant a sa perfusion et en l'amenant dans sa main pres de son index pour une meilleure prise en main il tatait de l'autre main pour voir si elle était suffisament aiguisée . Il serrait fort cette pseudo "arme" comme un enfant serant sa peluche pour se rassurer la nuit . Il tenta en vain de se lever mais il retomba encore sur son lit il ,décida donc par dépit de se redrésser pour pouvoir au minimum voir si quelqu'un était présent. ce qui fut bien venu...en effet a peine dix secondes après ce mouvement il entendit des bruits de pas...il sentit de grosses goutes de sueur perlées sur son visage blanchi par la faiblesse .son seul réflexe fut de baisser la tête et de pointer son aiguille vers le bruit car rien n'affirmait qu'il soit en sécuritée au millieu de ces lieux de cauchemards .ses sens était aténués et son odorat n'etai pas aussi fin que losqu'il etait en pleine forme il sentait juste que la personne en approche était une femme il le reconaissait il en était même sur...mais cela ne le rassurait en rien car il n'y avait pas que des hommes dans son ancienne prison. instinctivement il priait dans sa tête pour ne pas voir un visage qui lui était famillier car dans le cas contraire il était a coup sur mort...une seule question le taraudait allait'il mourir oui ou non? seul la nature de la personne qui venait allait lui répondre.

Il s’est écoulé quelque heure depuis ma nouvelle rencontre avec Malika. Cette rencontre qui me fait réfléchir. Les choses sont tellement différentes de ce qu’elles peuvent apparaitre au premier abord. Les humains ne sont pas les seuls à avoir des préjugés sur les créatures magiques. Nous aussi nous en avons entre espèce. Nous en avons entre individus. Il y en a partout…
Toute à mes pensée, je marche sans vraiment avoir de but. Je ne sais pas vraiment ou je vais. Je me sens… d’humeur neutre. Je me sens apaisée et en même temps tellement fatiguée ! Peut être devrais je chercher un endroit calme pour dormir ? Non, les couloirs sont désert, et je suis momentanément en paix avec moi-même, c’est si rare, je veux en profiter. J’erre au grès du hasard, réalisant que je ne m’éloigne jamais vraiment de l’infirmerie.

Une présence familière vient perturber le cours de mes pensées. Je ne réagis pas tout de suite mais finis par passer en mode « détection des auras ». Je ne suis pas longue à la reconnaître, cette aura. Comme pour chacune des personnes que je considère comme amie, je la connais par cœur. Nathaniel ! Il y a aussi celle du garçon qui trainait dans le cimeterre. Je fonce traquant cette lumière invisible que je perçois plus loin. Je m’élance dans les couloirs, toute heureuse. Je ne suis pas allée lui parler depuis un moment et je me sens joyeuse à l’idée d’aller le voir. Je m’arrête soudain sentait des trace de son aura dans le couloir… devant l’infirmerie. Pourquoi y est-il ? Ce n’est qu’alors que je perçois l’odeur de sang. Je me demande comment j’ai fait pour ne pas la sentir. Elle si omniprésente. Je ne sais pas qui saigne…mais c’est une véritable hémorragie. Ou peut être que c’est moi qui deviens de plus en plus vampire. De toute façon cela ne me concerne pas. Il est à l’infirmerie non ? Light m’avais donné quelque cours de premier secours, et de médecine, mais je ne suis pas infirmière et je n’étais pas très douée. Ce n’est pas mon rôle. Je devrais laisser faire les acolytes. Je continue donc mon chemin sur les traces de Nathaniel pendant quelque minute quand j’entends deux hurlements très rapprochés. Horreur ? Terreur ? Douleur ? Je ne saurais le dire… Mais ces hurlements me glacent le sang.

Je fais demi-tour de façon précipitée et m’engouffre dans l’infirmerie en criant :

Sanghiras : Tu es blessé ?

La première chose qui happe mon regard, c’est la gravité de sa blessure. Je veux me précipité sur lui il a besoin de soin. Mais je me retiens juste à temps. Car je viens de tomber sur la deuxième chose qui attire mon regard. Une aiguille d’au moins six centimètre braqué sur moi. Urg. Intention hostile. D’après son aura, c’est un vampire à cent pour cent. Je ne sais pas qui aurait le dessus en cas de combat mais je ne veux pas faire l’expérience. Je ne suis ni masochiste ni sadique, et si je ne veux pas me retrouver avec cette aiguille dans le bras ou dans la gorge, je ne tiens pas non plus à être responsable d’un meurtre car vu sa blessure, qu’il gagne ou qu’il perde ce ne serait pas très bon pour lui. Je m’arrête en bref instant. Enfin, à peine remis de mon double choc, j’en encaisse un troisième en observant à qui j’ai affaire. Un bandeau sur l’œil, les cheveux ébène, les yeux orange, les traits délicats et de magnifiques oreilles orange (des oreilles ? Un vampire ?), je lui trouve un charme singulier à ce beau ténébreux… Je me fige plus encore, à demi choquée. Puis je me reprends brusquement. Ce n’est pas le moment de perdre du temps.

Sanghiras : Calme-toi, ce n’est pas très bon pour toi de t’agiter comme ça. Je ne t’ai rien fait de mal que je sache.

Brève réflexion sur l’arme et l’état de son possesseur.

Sanghiras : Et puis regarde toi ! Regarde ton « arme » ! Tu ne ferais pas même peur à humain du dehors !

Je prends un air sévère et désigne le matériel sauvagement arraché.

Sanghiras : Remets ça tout de suite !

Je commence à m’avancer à pas lent…

il ne distingais pas grand chose juste une femme reltivement grande avec les cheveux noirs inconnue a son esprit...il n'etait visiblement pas en danger .elle s'adréssait a lui avec une délicatesse rare rien que ce qu'elle dit le rassura un minimum

Sanghiras : Tu es blessé ?

cela montrait déja qu'elle n'avait aucune intenssion de lui faire du mal. dans le cas contraire elle ne s'inquietterait pas de son etat de santé. Il se débatait inutilement dans le vide et ce sans raison ...la femme était au moin a trois metres mais il la menacait tout de meme avec son arme de fortunne.
Sanghiras : Calme-toi, ce n’est pas très bon pour toi de t’agiter comme ça. Je ne t’ai rien fait de mal que je sache.

elle marquait un point...il ne conaissait meme pas son interocutrice et elle ne lui avait rien fait de mal...elle avait meme l'air de s'inquiéter pour lui
Sanghiras : Et puis regarde toi ! Regarde ton « arme » ! Tu ne ferais pas même peur à humain du dehors !
un...humain du dehors?! cette fois c'etait sur il ne risquait rien elle n'avait rien a voir avec ses boureaux qui l'ont séquestré et battu pendant des anées autrement elle aurait utilisé le terme de "gens normaux" .il réalisait peu a peu qu'il s'etait clairement trompé a son sujet. il regardait son aiguille d'un air triste et réalisait que la femme avait raison sur tout les points...il n'aurait rien pu faire. il recouvrait la vue au fur et a mesure e il pouvait enffin discerner la dite femme: celle ci avait de longs chevex au couleurs de la nuit qui se mariait a ravir avec sa peau blanche. ulrick n'était pas vraimment habitué a voir et juger des visages de femmes mais il pouvait affirmer qu'elle était magnifique...ce qui lui fit détourner le regard.la femme prit soudain un air sévère en montrant ses perfusions arachées et inutilisables

Sanghiras : Remets ça tout de suite !

il ne s'atendait pas du tout a une réaction comme celle ci mais il la comprenait parfaitement...il avait peut etre réagit de manière exessive mais il falait se metre a sa place...il avait été traumatiser.la femme comencait a s'approcher lentement quand le jeune homme s'enffoncat de nouveau le catether dans le bras a l'emplacement exact ou il l'avait arraché auparavent...la seule différence notable était que aucun tuyaux ni fils ne reliait plus son corp . des excuses s'imposait il prit la parole faiblement d'une voix faible et fatiguée

ulrick: excusez moi je...me suis senti en danger madame...toutes* le garçon se mit a tousser puis repris son soufle lentement* mes exuses je n'aurait pas du agir ainssi madame*il mit une main sur son torse et s'inclina legerement en guise d'excuse*

ce geste lui faisait un mal de chien mais il était dans ses usages de ne pas être agressif avec ses rares bienfaiteurs surtout si celui ci...est une femme. il redressa la tete et regarda la femme s'approcher. cela se voyait sur son visage de la fatigue l'appelait tandis que la douleur le tenaillait mais ces yeux montrait qu'il avait réelement envie de connaitre cette femme il la regardait d'un air curieux il ne pouvait pas s'empécher de la regarder en face.

ulrick : je sais que c'est mal ...ce que j'ai fait mais ne vous inquiétez pas..vous ne risquez rien je ne mord pas...

son sang continuait de couler mais de manière beaucoup plus lente cela était a peine visible

Ce n’est que quand il remet son cathéter que je réalise que c’est inutile. Les câbles sont arrachés. Il ne peut plus recevoir de sang. Je lui ai demandé ça pour rien. Ça ne servait à rien ! Quelle idiote ! Il doit me prendre pour une folle furieuse maintenant. Je lui ai fait faire ça pour rien ! Dans son état il ne doit pas s’agiter. D’ailleurs, rien qu’en débarquant j’ai aggravé les choses pas vrai ? Calme. Ça ne le servira nullement que je panique reste calme, avance lentement et va constater l’ampleur des dégâts au lieu de paniquer bêtement. Je continue donc, petit pas après petit pas, lentement, même si je me sens dominée par un sentiment d’urgence.

Il prend la parole. Sa voix semble une preuve évidente de sa faiblesse actuelle. Je ne peux m’empêcher d’avoir pitié. De me sentir coupable aussi, de lui avoir parlé sur ce ton dur. Il parle d’une façon douce et très polie. Je suis toute attendrie de la politesse extrême qu’il met dans chaque mot.

vampire bléssé: excusez moi je...me suis senti en danger madame...toutes mes exuses je n'aurait pas du agir ainssi madame

Il parle avec difficulté. La situation est encore plus grave que ce que je pensais. Je me sens de plus en plus coupable. Je suis également très curieuse envers ce mystérieux jeune homme qui tantôt fuit mon regard tantôt le cherche.

Vampire bléssé: je sais que c'est mal ...ce que j'ai fait mais ne vous inquiétez pas..Vous ne risquez rien je ne mord pas...

Mal ? Mais je n’ai jamais dit ça ! Je n’aurais pas du parler aussi durement.
Alors que j’arrive devant son lit, je vais m’assoir à côté de lui, et passe ma main sur sa blessure, utilisant mes capacités de sylphide pour la sonder. Ça au moins c’est une chose que je peux faire. C’est la deuxième que je fais ça, sonder en utilisant mes pouvoirs de sylphide, je ne sais pas moi-même comment je fais, si ce n’est que j’utilise l’air comme une sorte de sonar. C’était également une blessure au torse, mais il s’agissait d’une personne nettement moins sympathique. Laharl. Je suis sa blessure, fermant les yeux pour me concentrer. Et l’observe attentivement. Il est tout pale. Il a perdu beaucoup trop de sang. C’est vraiment grave. Je fronce les sourcils, préoccupée.

Sanghiras : Le sang commence à coaguler bonne nouvelle. Mais tu en as trop perdu. Tu as absolument besoin de sang ! Et vite !

Il faut absolument que je trouve autre chose. Du matériel de rechange. En proie à la peur. Oscillant entre sang froid et panique, je me lève avec vivacité et vais fouiller tiroirs et placards. Rien. Ou pourrais-je trouver quelque chose ? L’infirmerie, mais elle est réservé au acolyte. Ça ne m’arrêtera pas. Mais aurais-je le temps ? C’est une situation d’urgence. Une autre idée me frappe. Une idée que je n’aime pas mais alors pas du tout. Je n’ai pas le choix. Je viens me planter devant son lit, hésitante. Mais qu’est ce que je fais ? Suis-je idiote ? Je fais ça pour gagner du temps. Pour le sauver. Et j’en perds en hésitation ? Je n’ai pas le droit de tergiverser. Passons aux considérations pratiques, Sanghi il est temps. Poignet ou cou ? Je n’en ai aucune idée. Peut être que le cou sera plus pratique, mais cela me fait plus peur aussi. Non, mieux vaut le cou. Je préfère n’avoir qu’une cicatrice. Je dégage mes longs cheveux noirs pour découvrir le côté droit de mon cou. Encore à peine visible deux fine cicatrices que je n’ai jamais montré à personne. Souvenir de ce jour. Devrais je aussi enlever mon pendentif ? Non, je ne peux m’y résoudre. Je fini enfin par dire d’une voix qui tremble un peu, pleine de détermination :

Sanghiras : Je suis désolée, mais c’est tout ce que j’ai trouvé.

Je ferme les yeux, m’apprêtant à accepter la douleur sans rechigner.

la femme s'approchait lentement mais le jeune homme ne se sentait plus d tout en danger étrangement. elle se placa devant ulrick et posa une main sur son torse a l'emplacement meme de sa blessure . mais qu'allai t'elle faire? le garçon se laissa faire pui au bout d'un court instant elle dit

???: Le sang commence à coaguler bonne nouvelle. Mais tu en as trop perdu. Tu as absolument besoin de sang ! Et vite !

ainssi donc elle était infirmière? elle ne portait pourtant aucun uniforme...tampis ce qui contait c'est que pour la première fois quelqu'un l'aidait volontairement et spontanément. ulrick vit la belle femme réfléchir et hésiter quelques temps sans dire un mot...sans dire le fond de sa penssée...était t'il réelement finit? ulrick ne croyait plus a grand chose quand la femme mit ses sublimes cheveux sur le coté laissant apparaitre une part de son cou a nu... cou sois dit en passant marqué de deux légeres traces semblables a des morssures. cela fit réagir le vampire qui eut en meme temps de la compassion , du chagrin et de la gratitude envers la jeune femme des larmes perlait sur le coin de ses yeux. elle avait l'air de vouloir le faire boire...cela était extrèmement génant pour l'homme mais il n'avait plus le choix elle prit de nouveaux la parole d'une voix tremblante

??? : Je suis désolée, mais c’est tout ce que j’ai trouvé.

pourquoi s'excuser elle alait lui sauver la vie et elle s'excusait??? la femme fermait les yeux et avait l'air crisper comme atendant la douleur ulrick vit la scène et cela le touchait profodément il essayat de rassurer sa bienfaitrice

ulrick : rassurez vous...je ne ferait jamais de mal a une femme comme vous...et ce dans tout les sens du terme ...je m'engage a ne pas vous faire souffrir ...j'aurait envers vous une dette eternelle...merci

ulrick se mit a pleurer silencieusement tandis que sa main gauche entrait en contact avec le visage de lla belle inconue. il la posa sur sa joue et placa l'autre dans la nuque de la femme entrelassant ses doigts dans les sublimes cheveux de l'inconnue puis il approchait le visage. il posa délicatement ses lèvres sur le cou de la femme en lui chuchotant d'un ton d'espoir entreméllé a de la tristesse*merci pour tout* ses mains comencèrent a entreprendre un massage tandis que ses lèvres embrasser la peau douce de la femme. il dit d'un ton calme et rassurant

ulrick : détendez vous mademoiselle je ne vais vous faire aucun mal vous ne sentirez rien

il continua cela jusqu'au moment ou il sentit la chaleur arriver a ses pomettes...il rougissait et cela se comprenait..cela devait etre encore pire pour sa bienfairice il cessa donc de l'embrasser et placa la main qu'il avait sur sa joue dans son cou a l'endroit meme de ses lèvres . il savait qu'il devait mordre mais c'etait la premiere fois pour lui...il ne voulait pas mal faire. il sortit ses crocs et comenca a se raprocher de la femme. ses crocs perforèrent lentement la peau de la belle inconnue il massait l'endroit ou ses crocs était plantés de manière a ne faire subir aucune soufrance physique a la femme...ce qui soit dit en passant avait l'air particulieremnt réussit. ses larmes ruisselait et quelques unes tombait sur la femme elle devait avoir remarquer qu'il pleurait. c'estait la premiere fois qu'il ressentait queque chose comme ca il aspirait lentement de manière a ne pas trop voler de sang a la jeune femme , ce sang quil avalait le revigorait , il le sentait pénétrer dans son corp comme si cela faisait plusieurs semaines qu'il n'avait pas manger et cela était un peut le cas... il sentait sa bléssure aller de mieux en mieux et se forces le retrouver lentement.

Cela lui faisait le plus grand bien il était heureux que ce soit cette femme qui prit la place de la première perssone mordue. cela suffisait il ne devait meme pas avoir prit un tiers de ce qui le rassasierait totalement mais il ne voulait pas abuser de la gentillesse de cette femme.

il sortit ses crocs délicatement et se mordit la main pour laisser sortir une goute de sang quil s'empéssa de metre sur les plaies de la belle inconnue pour cicatriser.il chuchota quelque chose a peine audible

ulrick : merci pour tout je ne remercierait jamais assez.désolé pour ces gestes déplacés cela avait pour seul but de vous aténuer la douleur

il se reculait de maniere a voir les yeux de la femme et il retira ses mains pour les poser sur ses genoux. il n'était pas tout a fait rétabli mais sa bléssure c'était a moitié refermée et la seule partie qui n'était pas encore cicatrisée avait formée une solide croute. les yeux d'ulrick brillaient d'un rouge vif tout comme son visage qui n'avait toujour pas encaisser l'émotion de la scène... il regardait la belle inconnue dans les yeux avant de détourner le regard pour cause de rougissements.

ulrick: j'espère ne pas vous avoir fait trop mal?

ulrick : rassurez vous...je ne ferait jamais de mal a une femme comme vous...et ce dans tout les sens du terme ...je m'engage a ne pas vous faire souffrir ...j'aurait envers vous une dette eternelle...merci

Il s’engage à ne pas me faire souffrir ? Physiquement c’est peut être possible. Mais moralement… Il n’a pas idée du sacrifice que cela représente pour moi. Une dette éternelle ? Parce que je lui ai donné un peu de sang ? Est-ce qu’il se moque de moi ? Il s‘approche de moi. Trop près. Je me force à ne pas reculer, toute tendue que je suis. Il place une main sur ma joue et l’autre sur ma nuque. Je frissonne presque, me forçant à ne pas reculer. Restant immobile, tendu comme un arc. Il pose ses lèvres sur mon cou et me le masse. Mais qu’est ce qu’il fout ? Je lui avais donné la permission de me mordre ! Pas de me tripoter ! Une dizaine de possibilité se forme dans mon esprit, parmi lesquels le frapper ou éclater d’un bon fou rire pour relâcher la tension. Je choisis finalement de la frapper et m’apprête à le faire quand je sens des gouttes perler sur mon épaule. Du sang ? Mon sang ? Non, je sus sure que non. Il n’a pas commencé à mordre. Il me murmure et me parle à plusieurs reprises. Mais plongé dans mon monde de fureur et de stupeur je ne réalise pas, et ne veux pas réaliser ce qu’il me dit.
Je sens finalement ses crocs s’enfoncer. Je tressaillis. Contrairement à ce que j’attendais, je ne ressens aucune douleur. Cela me surprend, mais ne change en rien mon amertume. Je me laisse faire comme… ce jour. Je réprime à peine un sanglot. Il parle de nouveau. De plus en plus lucide, je commence à comprendre la fin de sa phrase.

ulrick : …aténuer la douleur. j'espère ne pas vous avoir fait trop mal?

Je réalise que c’est fini, ne sortant qu’à demi de mon état de choc. Pourquoi cet état de choc ? Vous n’avez pas deviné ? On appelle ça un souvenir traumatisant. Cette morsure m’évoque un souvenir traumatisant, que j’ai à moitié oublié pour me protéger moi-même, ou peut être parce qu’on m’a forcé à oublié ? Inconsciemment, malgré l’horreur, du souvenir, dans mon brouillard, je m’accroche à ce souvenir enfouie, qui me reviens partiellement et chercher à le retrouver. J’ai soudain un hoquet de stupeur. Je me souviens. Je me souviens de tout. Mes yeux s’écarquillent et s’éteignent un peu alors que je revis ce que j’avais oublié. Du rouge partout. Des corps partout. Les corps de mes amis. L’odeur du sang. Du sang partout. Je mets ma tête entre mes mains. Une présence dan mon dos. Je me retourne. Trop tard. Douleur. Douleur dans mon cou. Insoutenable. Insupportable. Un visage de jeune fille que j’ai déjà rencontré ailleurs. L’attente et la souffrance. La lente action du poison. La solitude, avec des fantômes et ma rage pour toute compagnie. Les sirènes de police. La fuite.
Le souvenir ayant fini de se dérouler sous mes yeux, je ne me rend pas compte que je suis de retour dans la réalité. Que je ne suis pas dans une sombre chambre tachetée de rouge, agonisant, mais bien ici, à peu près en forme, dans l’infirmerie de Sekuen. Je fonds en larme, inconsolable.

ulrick se replaçait sur son lit en regardant la femme. ses yeux étaies ruisselants de larmes et son visage rougis par la confusion. ce qu'il venait de faire n'avait certes pour seul but d'adoucir la douleur de la femme mais cela le perturbait...d'un côté il s'en voulait mais il savait qu'il n'y avait pas d'autre moyen de ne pas faire le moindre mal durant la morsure . il voyait bien que cela était réciproque dans les yeux de sa bienfaitrice son visage était a mi chemin entre la torpeur et la timidité et cela ce comprenait . il s’appétait a tout expliquer lorsque la femme se mit a pleurer de manière incessante ...il avait visiblement raté ce qu'il voulait faire...elle devait souffrir .
Ulrick : excusez moi madame je n'ai pas réussit a ne pas vous faire souffrir je m'en excuse cela n'était pas mon intension de vous faire mal comme je vous l'ai dit les gestes déplacés que j'ai eut avait pour seul but d’atténuer votre douleur mais j'ai visiblement échoué...pardonnez moi...je ne suis vraiment doué en rien
ulrick s'en voulait réellement il savait ce que cela faisait de se faire mordre ...c'est une douleur inoubliable même si celle ci est vieille on ne peut oublier cette souffrance incomparable. le garçon s'inclinait le plus bas possible en signe d'excuse. il s’était mis sur les genoux et s'était mit a pleurer inconsciemment il ne pouvait s'en empêcher. il repensait a tout le mal que lui avait fait subir ses anciens "propriétaires" et il refusait toute violence injustifiée et toute souffrance inutile a qui que ce soit depuis ce jour...a moins que la souffrance de cette femme n'était pas du a sa blessure physique? elle avait peut être eut elle aussi une période sombre? un ancien souvenir qui ressurgissait au mauvais moment? il devait s'en assurer. si il pouvait l'aider il le ferait c'était la moindre des choses il lui avait fait un serment.
ulrick :madame... je suis vraiment désolé si je vous ai fait souffrir mais...est ce réellement la morsure en elle même qui vous a fait mal? ou...*il hésita un moment* avez vous...vécu quelque chose de choquant auparavant? un souvenir qui vous hanterait?...*il pleur toujours mais essaye de se calmer* moi même j'ai vécu des choses et je vous comprendrait...ce genre de blessures ne se ferment pas en un jour...pour ainsi dire elles ne se referment jamais...si vous avez besoin de vous confier je serait toujours la madame
il essayait de se maitriser par respect pour la femme il ne voulait pas l’importuner avec ses problèmes

… : excusez moi madame je n'ai pas réussit à ne pas vous faire souffrir je m'en excuse cela n'était pas mon intension de vous faire mal comme je vous l'ai dit les gestes déplacés que j'ai eut avait pour seul but d’atténuer votre douleur mais j'ai visiblement échoué...pardonnez moi...je ne suis vraiment doué en rien

Je vois les images se superposer devant mes yeux. Des morts, des morts, encore des morts. Qu’est ce qui est réel ? Qu’est ce qui est vrai ? La pièce calme et paisible devant moi ? Cet inconnu qui me murmure des paroles qui n’ont pas de sens à mes oreilles. Des paroles inquiètes murmurées d’une voix pleine de sollicitude. Ou bien est ce que la réalité se tiens dans cette pièce dont les sombre tache rouge font ressortir le blanc des murs ? Dans ses images si réelles, si fortes, si terrible, auxquelles je voudrais tellement échapper. Auxquelles je ne peux échapper. Mes larmes coulent. Ça c’est une chose dont je suis sûre. Je m’essuie maladroitement les yeux… et réalise que ma main est de nouveau tachée de rouge. J’ai recommencé. Pleurer des larmes de sang. Non. Je ne dois pas en perdre plus. Ce pourrait être dangereux ! La panique à pour effet de me calme.

… :madame... je suis vraiment désolé si je vous ai fait souffrir mais...est ce réellement la morsure en elle même qui vous a fait mal? ou... avez vous...vécu quelque chose de choquant auparavant? un souvenir qui vous hanterait?... moi même j'ai vécu des choses et je vous comprendrait...ce genre de blessures ne se ferment pas en un jour...pour ainsi dire elles ne se referment jamais...si vous avez besoin de vous confier je serait toujours la madame

Ces paroles sont dans un sens assez réconfortantes, mais je dois me concentrer pour ne pas y prêter attention. Pour essayer d’oublier ces images. Pour me concentrer sur cette salle. Je sanglote. Je n’arrive pas à m’arrêter. Je dois absolument me calmer. Je fais alors quelque chose que je ne pensais pas faire. Je me blotti dans les bras du garçon qui me fait face et dont je ne connais pas même le nom. Etrange réaction n’est ce pas ? Je ne sais même pas pourquoi je fais ça. Est-ce instinctivement pour me rassurer, pour être consolée ? Est-ce que ce contact corporel m’aide à me rappeler ou je suis vraiment ? Oui je crois. Je me sens un peu mieux en tout cas. Je continue de pleurer des larmes silencieuses, ma respiration s’est complètement calmée. Une étrange pensée me heurte… je vais peut être tacher ses vêtements avec me larmes de sang… Ses vêtements sont déjà tachés. Alors ce sont mes vêtement sui vont être tachés par le sang de sa blessure. Peut importe après la maison hantée, ils en ont vu d’autre. Je murmure alors dans un souffle à peine audible.

Sanghiras : Je me souviens…

ulrick il regardait la femme l'air confus en se demandant quelle était la vraie raison de son mal être.
l'inconnue semblait profondément troublée ,elle pleurait et d'un revers de main essuyait ses larmes, plus le temps s'écoulait plus la jeune femme semblait souffrir quand soudain l’inconnue plongea dans les bras d'Ulrick en sanglotant..elle semblait animée par une profonde tristesse et avait certainement besoin d'une épaule sur laquelle pleurer il était dans le devoir du jeune homme de la réconforter. La femme pleurait incessamment en sanglotant ...elle ne disait pas un mort et il en était peut être mieux ainsi...de toute façon dans son état les mots sont en général inaudibles et incompréhensibles. Il fallait laisser écouler du temps et apporter de l’attention a sa bienfaitrice et pas la tourmenter en lui posant des tas de questions gênantes qui ne ferait que aggraver sa situation...
après un bref instant le garçon eut un sursaut d'effroi en constatant que les larmes versées par la belle inconnue était en fait du sang. ulrick regardait avec insistance la femme pour voir si elle n'était pas blessée mais lorsqu'il vit que ce sang venait bel et bien de ses larmes son inquiétude disparut...après tout si elle était elle aussi un"monstre" qui pouvait savoir le quel elle était et de plus quel pouvoir ou spécificités l’accompagnait. il décida donc de rendre son étreinte a la femme, il posa délicatement ses mains dans son dos sans forcer pour ne pas lui faire mal mais en appuyant légèrement pour la réconforter. Il essayait sincèrement de l'aider mais il était légèrement prit au dépourvut et ne savait comment agir pour améliorer les choses... il opta pour la parole ...
il s’appétait a parler lorsque la femme prit lui dit d'une voix faible

???: Je me souviens…
elle se souvenait ? mais de quoi? cela confirmait au moins que ce n’était pas la blessure en elle même qui la faisait souffrir mais réelement une blessure immatérielle...il devait savoir pour l'aider mais le temps n'était pas a ça il devait la consoler c’était de son devoir
Ulrick: ...n'ayez crainte je suis la *il ne savait même pas en quoi ces mots allait l'aider mais ce fut automatique* je ne sais pas ce que vous avez ni ce que vous avez vécu mais...si je peut vous être de la moindre aide confiez vous a moi... je me doit a présent de vous protéger..je vous ai juré de tout faire pour ne pas que vous souffriez de quelconque manière que ce soit ...
*l’image de ses bourreaux lacérant ses membres lui revint a l'esprit et il sentit de nouveaux des larmes perlées a son visage* *et si elle avait vécu quelque chose de semblable? il dit les mots suivants dans ce but mais ceux ci avait également pour but de le rassurer lui même* je suis la a présent .;vous ne risquez plus rien je ne laisserait plus personne vous faire du mal
dans l'esprit du jeune homme c'était clair il se devait de protéger cette généreuse femme...il le devait non seulement parsequ'il lui en avait fait le serment mais également car il en avait l'envie. elle semblait avoir vécu des choses horribles dans son passé tout comme lui ..il comprenait sa souffrance et il savait que lors de son incarcération la seule chose qui aurait pu l'aider était une personne sur qui conter ...une personne en qui avoir confiance et qui te réconforterait

Toute à ma douleur, je reste renfermée sur moi-même. Je reste blottie contre ce parfait inconnu. C’est idiot mais ce contact me rappelle ou je suis. Je me sens de plus en plus en calmé, mais une forme de paralysie semble m’avoir atteinte. Sous le choc, je serais incapable de réagir à tout évènement possible. Moi qui tiens sans cesse à rester méfiante persuadée qu’à part quelque individu, le monde est contre moi, moi qui n’arrive pas à respecter ces résolutions, je n’ai pas d’autre choix que de m’en remettre à ce nouvel arrivant.

Ulrick: ...n'ayez crainte je suis là. Je ne sais pas ce que vous avez ni ce que vous avez vécu mais...si je peux vous être de la moindre aide confiez-vous a moi... je me doit a présent de vous protéger. Je vous ai juré de tout faire pour ne pas que vous souffriez de quelconque manière que ce soit ...
je suis la a présent .; vous ne risquez plus rien je ne laisserais plus personne vous faire du mal

Il continue de parler. Je ne comprends toujours pas le sens de ce qu’il me dit. Mais le son de sa voix me rassure. Je m’accroche à lui comme à une bouée de sauvetage. Je ne devrais pas. Mais c’est le seul secours que je vois, le seul moyen de m’en sortir. « J’ai besoin d’aide. » C’est ce que je devrais dire, c’est ce que j’aurais dû déjà dire, mais ces mots m’arrachent la gorge. Alors je reste immobile silencieuse, espérant qu’il ait compris, non, étant sure qu’il a compris. Je me laisse bercer par ses paroles rassurantes que je ne comprends pas et que je ne cherche pas à comprendre. Petit à petit je fini par me calmer, mes larmes se tarissent… mais la douleur est toujours là. Quelque part au fond de moi, une lame de froid m’a envahi et refuse de partir. La tristesse, la peur, la colère continue son malgré mon calme apparent à se frayer un chemin vers mon cœur.

Je ne sais pas combien de temps il m’a fallu pour me calmer. La souffrance a brouillé ma notion du temps, cela m’a paru une éternité et très court à la foi. Je devrais remercier mon bienfaiteur, mais je ne sais pas quoi lui dire. Pas quoi lui répondre à des mots que je n’ai pas écoutés. Je me sens trop fatiguée pour parler au fond… trop fatiguée pour réfléchir…. J’ai si froid !

[désolée, un peu cours]

la femme était toujours la...toujours accrochée a ulrick se blottissant dans ses bras comme pour chercher du réconfort .le vampire ne pouvait que répondre a ses attentes et essayer de l'aider même si il ne savait pas exactement ce qui tourmentait sa bienfaitrice il ne pouvait pas se contenter de ne rien faire... elle avait risqué sa vie pour lui en voulant l'aider car après tout un vampire aussi vieux soit t’il lorsqu'il est aux portes de la mort ne contrôle plus tout a fait le fait de laisser ou non la vie de la personne qui l'aide , c'est l'instinct de survie qui prend le dessus du moin pour ulrick cela se passerait comme cela mais il ne pouvait pas se permettre un tel affront envers la femme qui venait de lui sauver la vie...c'est pour cette seule raison et pour son respect de la vie que ulrick laissait ses plaies a moitiés refermées *le temps fera le reste pensait 'il* son regard se portait a présent sur la femme immobile contre lui , elle venait de cesser de pleurer mais sa souffrance était toujours présente il le sentait. Sa blessure mentale avait l'air profonde et même si il ne savait pas ce qui lui était arrivé par le passé il ne pouvait pas s’empêcher d'avoir de la compassion pour cette femme qui serrait son corp en tremblotant . le premier réflexe d'Ulrick fut de l'entourer délicatement d'une couverture , cela se voyait sur sa peau qu'elle n'avait pas chaud et même si elle n'avait pas eut la chair de poule et ces frissons il aurait pu le voir rien qu'a la chaleur de ses membres il décida donc de l'envelopper délicatement dans ce drap laissant dépasser sa tête et ses bras pour le pas l’étouffer puis il lui frotta délicatement le dos pour la réchauffer. ce geste pouvait être considéré comme déplacé envers une "inconnue" mais il ne pouvait pas juste se contenter de ne rien faire après ce qu'elle venait de faire pour lui... Il serait certainement véritablement mort si elle ne l'avait pas aidé.
il la serrait doucement dans ses bras ,un étrange mélange de tristesse de compassion ,de compréhension et d'inquiétude s'emparait petit a petit de lui tandis que ses bras se refermèrent sur la femme avec la délicatesse d'un drap qui tomberait sur quelqu'un . il voulait parler ,continnuer a essayer de l'aider mais les mots ne sortaient plus de sa bouche il était comme tétanisé ne sachant pas que faire pour l'aider. Ulrick tentait de la regarder dans les yeux pour voir si cela l'aiderait mais il en doutait sincèrement... il était pris au dépourvu totalement impuissant devant ce qui se déroulait sous ses yeux. il détestait cela, était il faible au point de ne pouvoir aider ceux qui avait de l'importance pour lui? cela le dégoutait de lui même rien que d'y penser. Il réalisait qu'il n'avait jamais choisit d’être ce qu'il était et que jusqu’à présent il n'avait semé que mort et destruction sur son passage a sa mémoire il n'avait jamais rendu quelqu'un heureux... et cela se confirmait par le fait qu'une femme pleurait dans ses bras a cet instant précis . il devait se forcer a parler rien que par respect
ulrick : madame...je...je ne vous force pas a me parler bien sur mais..ci cela peut vous aider..en quoi que ce soit sachez que je suis la pour vous
il tentait de la regarder sans pleurer il ne voulait pas l’embêter avec ses problèmes personnels elle devait en avoir suffisamment de son coté pour se préoccuper de cela. et puis cela servait'il a quelque chose? elle pouvait juste avoir besoin de calme et de repos.

Je reste immobile alors qui m’entoure d’une couverture. J’ai l’impression d’être devenue …. Non, je suis devenue l’une de ces personne sous le choc que Light réconfortait après une scène particulièrement tragique. Moi, j’avais toujours observée ces scènes en spectatrice. Ne sachant pas comment réagir. Ne comprenant pas comme Light s’y prenait, ni ce que ces gens pouvaient ressentir. Je comprends maintenant. Je ne réagis pas plus alors qu’il commence à me frotter le dos. Mon cerveau, comme déconnecter du reste de mon corps, comprend qu’il essaie de me réchauffer. Ce doit être à cause des frissons… A moins que je sois vraiment devenue glacée ? Toujours est-il que la sensation de froid vient l’intérieur. On ne peut rien faire pour y remédier. C’est mon cœur, dans le fond, qui a froid, pas mon corps. Je me sens presque coupée des sensations de mon corps… comme détachée… Ce bras qui me frotte le dos…. C’est comme s’il frottait le dos de quelqu’un d’autre. Malgré tout, la symbolique du geste me réconforte un peu. Et me rassure. J’ai beaucoup de chance d’être tombé sur lui et non sur quelqu’un d’autre de plus insensible, alors que je retrouve la mémoire. En ce moment de faiblesse, j’ai beaucoup de chance dans mon malheur, j’en ai bien conscience, mais ne parvient pas tout à fait non plus à assimiler l’information.

ulrick : madame...je...je ne vous force pas a me parler bien sûr mais… si cela peut vous aider… en quoi que ce soit sachez que je suis là pour vous

Ses paroles me touchent… Mais il faut que je sois forte, pour moi, car il faut que j’apprenne à avancer par moi-même, je ne peux toujours me reposer sur les autres, et pour lui, parce que je ne dois pas lui faire tout porter. Il n’a pas à souffrir à cause de moi. A se retrouver face à une pure inconnue qui se jette dans ses bras en pleurant. Je hoquète :

Sanghiras : Je….je suis …. désolée…. Ce n’est pas …. Ce n’est pas…..Convenable !

Je me dégage doucement sans brusquerie, presque à regret. Et tente, du revers de ma main mouillée d’essuyer ces larmes qui recommence à couler doucement, gouttes après gouttes, perle après perle. C’est alord seulement que je remarque son expression. Je me sens coupable de lui avoir infligé cette scène. Ma douleur fait écho à quelque chose en lui. Et je l’ai réveillé. J’aurais dû être plus forte. Je me sens vraiment terriblement coupable. Je me force tout de même à sourire. Je me force encore plus à sourire. Un sourire pitoyable vraiment. Pas très convaincant. Je ne peux pas faire mieux ? je ne pense pas, le simple fait de me forcer à sourire me parait l’effort du siècle, mais je fais de mon mieux. Pour ne pas l’inquiéter. Mais je crois que c’est trop tard. Je murmure alors à nouveau, dans un souffle à la limite de l’audible.

Sanghiras : je suis désolée….

ulrick la regardait immobile tandis qu'il essayait de la réconforter du mieux qu'il pouvait. Il se sentait impuissant comme incapable de gérer le plus petit des sentiments le plus insignifiant problèmes . Il savait de moin en moin comment réagir comme si la situation lui échappait totalement...il n'avait en effet jamais vécu de moment semblables et il savait pas comment s'y prendre pour lui être d'une quelconque aide. la femme reprit d'une voie faible et hoquetante .
??? : Je…. je suis …. désolée…. Ce n’est pas …. Ce n’est pas…..Convenable !
ce n'était pas convenable? Ulrick ne comprenait pas ce qu'elle se reprochait elle allait mal , elle pleurait et souffrait et elle se reprochait encore d'essayer de se réconforter?ulrick ne comprenait pas mais il ne pouvait rien dire a cet instant. La femme se dégageait doucement de l'étreinte du jeune homme et tentait de se calmer. Elle essuyait maladroitement ses larmes et relevait le visage vers le garçon en esquissant un léger sourire. Celui ci avait plus l'air d'un sourire fait pour rassurer que ceux faits pour exprimer la joie...cela se voyait que trop bien . A l'esprit d'ulrick il était possible de mélanger bonheur et tristesse mais cela était réservé a des cas très particuliers , en général dans les situations communes c'est l'un de ces deux sentiments qui prenaient le pas.La femme , s’adressait de nouveaux a lui d'une vois plus faire qu'au paravent
Sanghiras : je suis désolée….
il avait tout entendu... et il devait réagir...il devait faire quelque chose pour l'aider et lui faire comprendre sa façon de penser. ainsi elle s'ouvrirait peut être et serait plus enclin a parler de ce qui la torture . Il s’adressait a elle de façon calme et parlait doucement sans pour autant chuchoter
Ulrick: vous savez ...cela n'a rien d'inconvenable ...avoir besoin de parler est normal je le comprend parfaitement pour l'avoir déjà vécu...sachez que vous ne me gênez pas le moin du monde...il est certes de mon devoir de vous aider mais j'en éprouve aussi le désir... sachez que je suis la pour vous madame.
il la regardait d'un air triste et compatissant en essayant de trouver quelque chose pour assécher ces larmes , comme un mouchoir ou un tissu par exemple mais rien n'était disponible si ce n’était un vieux torchon. il ne pouvait pas donner quelque chose comme ça a cette femme...elle méritait quelque chose de mieux. il se leva donc et se dirigeait a pas hésitants vers une commode avant d'en fouiller le contenu. ce n'est que dans le deuxième tiroir qu'il trouva quelque chose adéquate :un carré de tissu semblable a du satin . Il retournait s’assoir auprès de la jeune femme et reprit:
Ulrick: tenez vous en aurez peut être besoin...*il approchait la main pour essuyer ses larmes* vous ne méritez pas de pleurer ainsi vous avez du beaucoup souffrir pour une raison que je j'ignore mais si je peut être de la moindre aide. du moindre réconfort vous pouvez parfaitement vous raccrocher a moi cela n'a rien de grave sachez le. De plus vos soucis ne m’embêtent pas n'ayez aucune crainte...et pour finir sachez que cela ne va pas a une belle femme de pleurer.
il lui souriait chaleureusement tout en la regardant droit dans les yeux
Ulrick : je ne veut pas m'imposer bien sur mais entendez par la que je suis la en cas de besoin

Voix douce. Qui rassure. Qui console.

Ulrick: vous savez ...cela n'a rien d'inconvenable ...avoir besoin de parler est normal je le comprend parfaitement pour l'avoir déjà vécu...sachez que vous ne me gênez pas le moin du monde...il est certes de mon devoir de vous aider mais j'en éprouve aussi le désir... sachez que je suis la pour vous madame.

Cet excès de respect me met presque mal à l’aise. Je lui pourtant juste rendu un petit service. Je ne comprends pas pourquoi il s’acharne autant à essayer de me consoler. Pourquoi il cherche autant à rester présent auprès de l’inconnue que je représente. Cet homme est un mystère pour moi.

Je le vois chercher quelque chose, fouiller les tiroirs. Je ne comprends pas ce qu’il veut trouver. Il est guéri non ? Il n’a plus besoin d’aide, ni de soin, non ? Alors qu’est ce qu’il fait ? Il ne devrait pas trop bouger ! Sa démarche n’est même pas encore très assurée ! Il doit se recoucher tout de suite ! Il finit enfin par trouver son bonheur. Un carré de tissu ? Mais pourquoi est ce qu’il aurait besoin de ça ? Il vient me l’apporter, venant s’assoir à côté de moi.

Ulrick: tenez vous en aurez peut être besoin...

Il approche le mouchoir de ma joue pour essuyer mes larmes. Je me laisse faire un peu surprise. Je viens de comprendre l’utilité du mouchoir. C’est pour m’aider à me calmer ? Mais je n’ai pas besoin de ce vulgaire carré de tissu !

Ulrick : vous ne méritez pas de pleurer ainsi vous avez du beaucoup souffrir pour une raison que je j'ignore mais si je peut être de la moindre aide. du moindre réconfort vous pouvez parfaitement vous raccrocher a moi cela n'a rien de grave sachez le. De plus vos soucis ne m’embêtent pas n'ayez aucune crainte...et pour finir sachez que cela ne va pas a une belle femme de pleurer.

sourire chaleureux. Ça ne me va pas de pleurer ? Mais s’il pouvait savoir à quel point je me moque de mon apparence à l’instant. La seule chose qui compte ce sont mes copagnons, mes compagnons massacrés par ce vampire. Ce maudit vampire. Ma mémoire se débloque, je me rappelle de ses traits avec de plus en plus de précision bien que je ne l’ai vu qu’un instant. Je suis sure de l’avoir déjà croisé à sekuen. Son sourire chaleureux, me permet de garder mon sang froid.

Ulrick : je ne veut pas m'imposer bien sur mais entendez par la que je suis la en cas de besoin

Je prends le mouchoir et sèche mes larmes songeuses…. Et finit finalement par prendre réellement conscience de la présence du vampire à mes côté. Par m’intéresser à son existence. Je sursaute presque.

Sanghiras : Excusez moi….. mais…. Vous êtes nouveau ?

cela faisait déjà un moment que la femme était a ses cotés et elle semblait a peine se rendre conte de sa présence elle devait réellement être préoccupée par quelque chose d'important....ne pas faire attention a quelqun c'est pas grave mais de la l'occulter....cela devait etre important.
la femme séchait ses larmes avec le "mouchoir" que ulrick avait trouvé puis elle fit une tête étonnée comme prenant conscience du monde qui l'entourait
Sanghiras : Excusez moi….. mais…. Vous êtes nouveau ?
évidement autrement il saurait ou il était ... il répondit calmement d'un air solennel

Ulrick : oui madame je vient d'arriver dans cet endroit ... je n'ai pas la moindre idée de ce que je fait ici mais cela n'avait pas l'air d'un endroit triste ou l'on chasse les "aberrations de la nature"....je me trompe?
il la regardait droit dans les yeux d'un air curieux et quelque peut anxieux . En cas de réponse positive il devait se préparer a tout et a fuir si besoin est ... il repéra une fenêtre par laquelle il savait qu'il pouvait passer et reporta en un instant son regard sur la femme
Ulrick : vous êtes également "interne" a cet endroit?
il s'était assis en tailleur fixant de manière paisible les beaux yeux couleur acier de la femme mais dans sa tête il savait qu'il devait s'attendre a tout...il s'était peut être trompé sur cet endroit ...qui sait? il devait se préparer a tout

Réponse calme et solennel. Je remarque pour la première foi son vocabulaire pour le moins étrange. Vu sa façon de parler on dirait qu’il vient du siècle passé. Ce doit être un vampire assez âgé. IL ne semble pourtant pas beaucoup plus vieux que moi. Je me sens assez curieuse, essaie d’ignorer la douleur qui me transperce la poitrine pour me focaliser sur ma discussion avec lui.

Ulrick : oui madame je vient d'arriver dans cet endroit ... je n'ai pas la moindre idée de ce que je fait ici mais cela n'avait pas l'air d'un endroit triste ou l'on chasse les "aberrations de la nature"....je me trompe? Vous êtes également "interne" a cet endroit

Interne ? Cela fait bizarre, dit comme ça ! On dirait que l’on parle d’internement, mais cette école étant un internat je suppose que c’est le terme approprié. Je ne sais pas quoi répondre. Etre fixée par cet unique œil à la couleur orangé si surprenant me met mal à l’aise. Ce calme me met mal à l’aise. La douleur qui me transperce de l’intérieur ne m’aide pas. J’ai du mal à garder la tête froide. Je m’assois aussi, à côté de lui, légèrement prise de vertige. On peut deviner facilement à ses paroles qu’il ne semble pas même savoir ou il est. A moi donc d’éclairer sa lanterne.

Sanghiras : Non, nous ne sommes pas dans un endroit qui chasse les aberrations de la nature. J’en suis une au même titre que vous d’ailleurs.

Je regarde le plafond, quelque peu gênée.

Sanghiras : Nous sommes dans une école. Son nom est Sekuen Seruki. Elle offre au refuge à tout ce que vous appelleriez aberrations de la nature, même si l’on peut trouver ici des humains normaux parfois.

Je repense à Illiana et à sa force de caractère. J’aimerais bien lui ressembler par certain côté. Je me rappelle soudain la question que je voulais poser. Je rougis un peu.

Sanghiras : Excusez-moi, mais quel âge avez-vous ?

Pour le moins impoli comme question. Est-ce qu’il va m’en vouloir ?

cette femme parlait avec une telle aisance juste après avoir pleuré que cela interpela Ulrick mais il n'en tint pas compte il se concentrait sur la réponse de cette femme.. cette inconnue qui lui avait probablement sauvé la vie, cette femme qu'il avait tenté vainement de consoler sans même savoir la nature de sa souffrance, Cette même femme qu'il fixait avec insistance depuis un bon moment buvant chacune de ses paroles identifiant chacun de ses gestes sans la quitter du regard un seul instant pour ne pas perdre une seule miette du spéctacle déstabilisant qui se présentait devant lui... un mélange entre l’effroi et la tristesse
qui se transformait peu a peu en envie réconfort et en fascination envers cette femme...Ceci le déstabilisait mais cela était une émotion nouvelle pour lui et il appréciait tout particulièrement que cela ce passe avec elle ...bien qu'il ne la connaissait que très peut il se sentait comme une envie incontrôlable de l'aider et de la protéger ...du moin c’était son ressentit a ce moment précis.
Sanghiras : Non, nous ne sommes pas dans un endroit
qui chasse les aberrations de la nature. J’en suis une au même titre
que vous d’ailleurs... Nous sommes dans une école. Son nom est Sekuen
Seruki. Elle offre au refuge à tout ce que vous appelleriez aberrations
de la nature, même si l’on peut trouver ici des humains normaux parfois.
cet endroit était donc sur cette fois il en avait bien la confirmation bien qu'il voulait le découvrir de ses propres yeux cela le rassurait d'entendre ces mots et il laissa échapper un petit soupir l'air rassuré.
Son interlocutrice reprit la parole d'un ton légèrement timide ... son visage s’empourprait légèrement .
Sanghiras : Excusez-moi, mais quel âge avez-vous ?
une question toute a fait banale auquel ulrick ne s'était jamais préparé a répondre...il n'avait jamais eut a se justifier auprès de qui que ce soit mais il tacha de répondre le plus vite possible.
Ulrick: bien que je ne connaisse pas votre âge exact je dirait que je ne suis pas plus vieux que vous physiquement...cependant j'ai été transformé il y a de ça 250 ans... on m'a "recueillis" a l'état de nourrisson mais j'etait déjà ateint de cette "maladie" ... comme ils l’appellent l'hémophilie porphyrique. ne connaissant pas exactement ma date de naissance je me base sur la date de ma transformation pour afirmer que je doit avoir ..environ 250 ans...
il pensait que sa réponse serait assez complète mais en réflachissant il se demandait bien ce qu'il pourrait dire de plus si elle avait d'autres questions... il ne savait pas lui meme ni qui était ses véritables parent ou si il est née de parents vampires ou encore même si c'est un inconnu qui l'avait transformé...
il se rendit compte qu'il dérangeait peut etre la femme en racontant sa vie et en lui monopolisant le temps
Ulrick : excusez moi je ne veut pas vous embéter si vous avez des choses a faires...je vous ait déja fait perdre suffisamment de temps... en fait! je m’appelle Ulrick bloodriver ravi de vous rencontré*il s'inclina légèrement* merci encore de ce que vous faites pour moi
il se sentait réellement heureux qu'une personne ait enfin daigné porter son attention sur lui sans pour autant attendre quelque chose ou souhaiter sa mort c’était, pour lui une grande première

Il me fixe avec intensité depuis un moment. Je me sens encore plus mal à l’aise. Je me sens rougir. Cette attention soutenue si inhabituelle est des plus gênantes. Je m’efforce toute fois de ne pas baisser les yeux. Non mais ! J’ai une fierté. Baisser les yeux, montrer un quelconque signe de faiblesse…. C’est hors de question. Je refuse ! En même temps…. Est-ce que je ne viens pas de pleurer dans ses bras ? Est-ce que je ne suis pas en train de rougir. Je finis par céder et détourner le regard, me réprimandant intérieurement. Ce n’est pas le moment. Je me laisse perturber alors que la mémoire de mes morts n’est pas encore lavée. Je dois avoir plus de maitrise. Je dois…. Pourquoi est ce que je me sens tellement fragile et perdurable en ce moment ? Est-ce à cause du souvenir ? Ou de la personne qui l’a réveillé ? Peut importe. Dans peu de temps je vais partir de nouveau sur la piste du meurtrier. Mais pour l’instant, pour cette dernière conversation légère, je veux me concentrer sur le moment présent.

Ulrick: bien que je ne connaisse pas votre âge exact je dirait que je ne suis pas plus vieux que vous physiquement...cependant j'ai été transformé il y a de ça 250 ans... on m'a "recueillis" a l'état de nourrisson mais j'etait déjà ateint de cette "maladie" ... comme ils l’appellent l'hémophilie porphyrique. ne connaissant pas exactement ma date de naissance je me base sur la date de ma transformation pour afirmer que je doit avoir ..environ 250 ans...

C’est à mon tour d’être fascinée. 250 ans. Je le regarde du coin de l’œil, un peu intimidée. Cette personne est bien plus âgée que moi. Avec toute cette expérience derrière elle, est ce qu’elle arrive encore à être surprise par la vie ? Est-ce que ce quotidien ne lui semble pas futile ? Mais dans ce cas, avec mes questions banales et ma manière de fondre en larme, il doit me mépriser… C’est une pensée simple, peu importante. Cela aurait sans doute peu d’incidence. Mais pourquoi est ce que ça me fait aussi mal ? je suis sans doute plus sensible que je ne me l’imagine. Je me connais bien mal, ou alors je suis en train de changer.

Ulrick : excusez moi je ne veut pas vous embéter si vous avez des choses a faires...je vous ait déja fait perdre suffisamment de temps... en fait! je m’appelle Ulrick bloodriver ravi de vous rencontré. merci encore de ce que vous faites pour moi

Sanghiras : Non, je…

Je rougis encore… J’ai failli le supplier de pouvoir rester. Je ne suis pas dans mon assiette, j’ai effectivement autre chose à faire, et pourtant… je me sens bien ici. Je n’ai pas envie de partir.

Sanghiras : Vous ne m’embêtez pas du tout ! Je suis…. Je suis ravie aussi d’avoir pu faire votre connaissance, Ulrick Bloodriver !

Ulrick Bloodriver, je mémorise ce nom dans un coin de mon cerveau. J’aime bien sa sonorité. De quelle nationalité cet illustre inconnu qui ne l’est pas tout à fait peut il bien être ? Allemande je dirais, mais difficile d’être sûre… Je sur saute légèrement, je ne lui ai pas donné mon nom en retour. C’est assez mal poli. Je m’empresse donc de rectifier mon erreur.

Sanghiras : Je suis Sanghiras…

J’hésite un peu, gênée. Je ne sais pas trop sur quel pieds danser.

si il montrait autant de détachement ce n'était pas pour paraitre distant encore moin agressif ou méprisant ... il voulait juste ne pas être un boulet ou une perte de temps pour cette femme d'une bonté rare il pensait réellement la gênée mais il n'eut pas le temps de beaucoup réfléchir qu'elle lui avait déjà répondu
Sanghiras : Non, je…
une réponse brève mais qui rassurait ulrick un instant... toutefois cela l'interpellait légèrement . Pourquoi rougissais elle? il avait dit quelque chose?
Sanghiras : Vous ne m’embêtez pas du tout ! Je
suis…. Je suis ravie aussi d’avoir pu faire votre connaissance, Ulrick
Bloodriver !
tant de formalités ! il avait l'impression d’être devenu instantanément vieux ...cela n'était pas forcément faut mais il se sentait jeune dans sa tête de plus son apparence montrait que physiquement il devait se situer entre 18 et 22 ans maximum donc pour lui il était tout jeune!
Sanghiras : Je suis Sanghiras…
"Sanghiras" ce nom résonnait dans sa tête il ne devrait pas avoir trop de mal a le retenir et vu le peu de gens qu'il connaissait il ne devrait pas la mélanger...après tout en comptant sanghiras ulrick avait jusqu'a présent rencontré...3 personnes... dont un vampire en cape rouge et un garçon au cheveux chatains qui l'avait emmené a l'infirmerie bien qu'il ne se rapelait pas de grand chose...
Ulrick : votre joie est partagée madame je suis également ravis d'avoir fait votre connaissance. trouvé quelqu'un d'aussi altruiste est quelque chose de rare de plus , sans vous je serait mort a l'heure qu'il est du moin très probablement *il réfléchi un moment regardant de coté le sol en s’attrapant une oreille tout en rougissant légèrement* vous savez...vous n'avez pas besoin d'etre aussi polie avec moi je ne suis qu'un jeune homme bien que j'ai atends les 250 ans je ne connait rien du monde j'ai toujours vécu séquestré alors vous conaissez certainement mille fois plus de choses que moi... excusez moi je m’attarde sur ma vie...
il cherchait a faire comprendre a cette femme qu'elle pouvait lui parler comme a n importe qui sans le craindre ou le respecter par obligation . cette sanghiras le fascinait réellement non seulement elle était agréable autant a regarder que pour parler mais elle avait également l'air habituée a ces lieux et prompte a parler de quoi que ce soit sans attendre quelque chose en retour cela lui plaisait .
Ulrick : dites moi? ces soins ...combien coutent 'ils je travaillerait pour les payer il n'y a pas de soucis *il esquissa un sourire en regardant sanghiras* et si cela ne vous gène pas... pouvez vous me parler de vous? comment êtes vous arrivé ici ...vous avez fuit quelque chose vous aussi? désolé cela est indiscret

Ulrick : votre joie est partagée madame je suis également ravis d'avoir fait votre connaissance. Trouver quelqu'un d'aussi altruiste est quelque chose de rare de plus, sans vous je serait mort a l'heure qu'il est du moins très probablement

Il n’en ferait pas un peu trop ? Je ne suis pas si altruiste que ça. Je n’ai juste aucun plaisir particulier à voir les gens mourir sous mes yeux.

Ulrick : vous savez...vous n'avez pas besoin d'etre aussi polie avec moi je ne suis qu'un jeune homme bien que j'ai atends les 250 ans je ne connait rien du monde j'ai toujours vécu séquestré alors vous conaissez certainement mille fois plus de choses que moi... excusez moi je m’attarde sur ma vie...

Et c’est lui qui me dit ça ? Il est pourtant beaucoup plus poli et formel que moi, enfin s’il désire que je lui parle de façon moins distante, cela ne me pose pas de problème. Je me sentirais même sans doute moins gênée. Alors ainsi il a vaincu séquestré ? Je ressens un élan de pitié. De mon côté j’ai certes eu une enfance difficile, mais au moins j’étais libre comme l’air. La liberté, selon moi le bien le plus précieux de l’homme et des créatures magiques. Je voudrais lui demander ce qui lui est arrivé, mais j’ai l’impression que ce serait pure indiscrétion. Il ne me laisse de toute manière pas le temps de lui poser des questions.

Ulrick : dites moi? ces soins ...combien coutent 'ils je travaillerait pour les payer il n'y a pas de soucis.

Payer les soins ? J’écarquille les yeux et éclate de rire. Il doit me trouver bien versatile.

Ulrick : Et si cela ne vous gène pas... pouvez vous me parler de vous? Comment êtes vous arrivé ici ...vous avez fuit quelque chose vous aussi? Désolé cela est indiscret

Sanghiras : Vous….. tu n’as pas besoin de payer les soins. Tu es ici dans l’infirmerie d’une école.

La familiarité de mes propres mots me fait hésiter. Je pensais que cela mais mettrais plus à l’aise mais parler de manière moins formelle a plutôt l’effet inverse. Lui parler un peu de moi…. Que pourrais-je lui dire sur moi…. Qu’il y aurait il à dire sur moi ? Je croise son regard son souriant et plonge rapidement les yeux vers le sol.

Sanghiras : Je suis élève ici dans la mixer class depuis environ un an. Je ne suis pas venue icic pour fuir quelque chose, mais plutôt pour trouver quelqu’un.

En suis-je bien sûre ? N’ai-je pas fuis mes responsabilités en venant dans cette école, sous prétexte de trouver le meurtrier ? Je passe volontairement sous silence mon passé hors de l’école et la raison précise de ma venue. Je n’ai pas très envie d’en parler. Je me sens tellement lâche !

Sanghiras : Et toi ? Est ce que tu voudrais bien e parler de toi ?

Sanghiras : Vous….. tu n’as pas besoin de payer les soins. Tu es ici dans l’infirmerie d’une école.
cela l'étonnait légèrement il pensait que rien n'était gratuit dans la vie mais bon...cela lui prouvait le contraire sanghiras continuait de parler et ulrick la regardait en buvant ses paroles
Sanghiras : Je suis élève ici dans la mixer class
depuis environ un an. Je ne suis pas venue ici pour fuir quelque chose,
mais plutôt pour trouver quelqu’un.
trouver quelqu'un? elle avait donc quelqu'un dans sa vie?...et il avait oser la serrer dans ses bras?pour le coup il se sentait vraiment bête... il n'avait rien fait de mal mais cela pouvait être mal interprété par l’amant de cette femme et il ne voulait pas lui causer du tord il devait s'excuser des que possible
Sanghiras : Et toi ? Est ce que tu voudrais bien e parler de toi ?
parler de lui? il voulait bien mais il ne conaissait pas grand chose a sa propre histoire...que ce que les scientifiques lui avait raconté...mais étais-ce la vérités? qu'importe pour lui c'était sa seule histoire et il ne conaitrait jammais une autre version de toute facon...il lui dirait tout après avoir fait ce qui devait etre fait
ulrick : tout dabord je souhaite m'excuser a propos de mes gestes passés...si j'avait su que vous étiez promise a quelqu'un jammais je n'aurait oser poser la main sur vous de cette manière mème pour vous consoler je ne veut pas vous causer du tord...
maintenant que cela était clair il pouvait parler de lui *il avait légèrement rougis et regardait ailleurs*
Ulrick : mon histoire est très simple...je n'ai pas connu mes parents et j'ai faillit mourir dans la rue quand je n'était qu'un nouveau née ...* il avait le regard vide et dénué de toute émotion positive comme si il faisait resurgir quelque chose profondément entérée* je n'ai donc jamais connu la chaleur familalle ou amicale
quelques jours se sont écoulés et un vampire est venu me recueillir...vu ma faiblesse il a du préférer me transformer je pense...mais je ne me souvient de rien a ce moment la...a part cet homme qui disparut et un nuage rouge et une dixaines d'autres qui suivèrent tous vétus de la meme façon en blouse blanche ..et ils m'ont emmené dans une "chambre ou je suis resté attaché séquestré et battu pendant tout ce temps...jusqu'au jour ou j'ai réussit a m'évader...j'ai découvert cet endroit ne sachant pas réellement ce qu'il était mais jai tout de même décider de tenter ma chance ici...
il fit une petite pause...il respirait vite et ses yeux était totalement rouges comme avant de pleurer. Ulrick tentait de respirer longuement pour ne pas céder
Ulrick : cela peut paraitre vide mais c'est la seule chose que je peut vous dire a mon sujet...je ne sait rien d'autre désolé...je ne sais meme pas tout sur ma propre espèce tout ce que je sais je l'ai aprit tout seul ou je l'ai entendu de la bouche des scientifiques comme le fait de se nourrir de sang pour rester en vie d'éviter le soleil a tout prix meme si je me suis rendu compte que cela était faux et que ca avait pour seul but de m'empécher de m'évader ...ou autres foutaises dans le genre...je sais cependant que plusieurs vampires sont dans ces lieux cela se sent a leur auras... et ils n'ont pas tous un passé tres rose non plus de par leurs actes pourtant j'ai entendu dire que lorsqu'un vampire chasse comme il se doit la seule chose que la personne doit voir avant de mourrir est vous meme vous éloignant de dos tandit que votre ame disparait peut a peu dans le néant...*ulrick soupire* beaucoup de gens pense que nous sommes des sanguinaires donc...cela doit etre vrai pour certains d’entre nous. Mais j'y pensse! vous avez déja rencontrer d'autres membres de mon espèce? je peut le sentir vous....tu a déjà été en contact avec un des nôtres dans le passé si je me fie a l'aura que je perçoit ...ce serait une jeune femme ...peut être celle qui vous a laisser cette trace que je me suis éfforcer de ne pas agrandir... désolé je me mèlle de ce que je devrait pas je suis désolé

ulrick regardait de coté le sol l'air géné ...il en avait trop dit et n'avait meme pas laisser sanghiras s’exprimer de plus il se mêlait de sa vie privée et cela n'était pas dans ses habitudes...il éspérait ne pas avoir blésser la femme

ulrick : tout dabord je souhaite m'excuser a propos de mes gestes passés...si j'avait su que vous étiez promise a quelqu'un jammais je n'aurait oser poser la main sur vous de cette manière mème pour vous consoler je ne veut pas vous causer du tord...

Promise à quelqu’un… Qu’est ce qu’il entend par là ? Il veut dire, avec quelqu’un ? Oh non, bien sur que non. Je rougis légèrement à l’idée et ouvre la bouche pour protester. Je ne suis pas en couple ! Il ne me laisse cependant pas le temps de parler.

Ulrick : mon histoire est très simple...je n'ai pas connu mes parents et j'ai faillit mourir dans la rue quand je n'était qu'un nouveau née ... je n'ai donc jamais connu la chaleur familalle ou amicale quelques jours se sont écoulés et un vampire est venu me recueillir...vu ma faiblesse il a du préférer me transformer je pense...mais je ne me souvient de rien a ce moment la...a part cet homme qui disparut et un nuage rouge et une dixaines d'autres qui suivèrent tous vétus de la meme façon en blouse blanche ..et ils m'ont emmené dans une "chambre ou je suis resté attaché séquestré et battu pendant tout ce temps...jusqu'au jour ou j'ai réussit a m'évader...j'ai découvert cet endroit ne sachant pas réellement ce qu'il était mais jai tout de même décider de tenter ma chance ici...

Je l’écoute en silence. Son récit à chassé de mon esprit l’idée de protester. C’est… tellement plus sérieux. Je me sens un peu triste pour lui. La façon impersonnelle qu’il a d’en parler a tendance à réveiller chez moi la pitié. Je me fige. Une image vient de flasher dans mon esprit. Je n’ai pas eu le temps de saisir ce que c’était. Je cherche sans grande conviction à comprendre de quoi il s’agissait. Dans le fond, je sais que comprendre ne me ferait que plus souffrir.

Ulrick : cela peut paraitre vide mais c'est la seule chose que je peut vous dire a mon sujet...je ne sait rien d'autre désolé...je ne sais meme pas tout sur ma propre espèce tout ce que je sais je l'ai aprit tout seul ou je l'ai entendu de la bouche des scientifiques comme le fait de se nourrir de sang pour rester en vie d'éviter le soleil a tout prix meme si je me suis rendu compte que cela était faux et que ca avait pour seul but de m'empécher de m'évader ...ou autres foutaises dans le genre...je sais cependant que plusieurs vampires sont dans ces lieux cela se sent a leur auras... et ils n'ont pas tous un passé tres rose non plus de par leurs actes pourtant j'ai entendu dire que lorsqu'un vampire chasse comme il se doit la seule chose que la personne doit voir avant de mourrir est vous meme vous éloignant de dos tandit que votre ame disparait peut a peu dans le néant... beaucoup de gens pense que nous sommes des sanguinaires donc...cela doit etre vrai pour certains d’entre nous.

L’image se met à clignoter avec plus d’insistance dans mon esprit. Une idée essaie de se frayer un chemin dans mon esprit. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai de nouveau envie de pleurer. Je refoule l’idée et l’image sans ménagement.


Ulrick : Mais j'y pensse! vous avez déja rencontrer d'autres membres de mon espèce? je peut le sentir vous....tu a déjà été en contact avec un des nôtres dans le passé si je me fie a l'aura que je perçoit ...ce serait une jeune femme ...peut être celle qui vous a laisser cette trace que je me suis éfforcer de ne pas agrandir... désolé je me mèlle de ce que je devrait pas je suis désolé

La personne qui m’a mordue. Oui, c’est la personne qui a tué mes compagnons. La personne dont j’ai trouvé des traces à Sekuen. La personne que je suis venue chercher ici. Pour autant que je le sache Ulrick pourrait bien être cette personne. Non, je ne pense pas. Il est arrivé trop récemment, et puis il semble sincère. La personne qui m’a mordue. La réminiscence de la morsure d’Ulrick. L’image se stabilise presque, mais je ne veux pas. Je ne veux pas savoir. Je sors donc la première chose qui me vient à l’esprit.

Sanghiras : Vous savez, je ne suis pas en cou….

Je m’interromps en milieu de phrase. La personne que je suis venue chercher. Une jeune femme…. Je m’en souviens. L’image se stabilise dans ma tête. Je me souviens de son visage. Visage que je connais. C’est impossible. Je l’ai rencontré dés le début. Je l’ai vu dés mon arrivé. Je savais bien que son visage me disait quelque chose. Évidemment. Et je n’ai pas fait le lien ! Je me lève brusquement m’exclamant.

Sanghiras : Zelina !

Zelina. C’est elle qui m’a…. C’est elle qui a….Une bouffée de rage m’envahit. Il faut que j’aille la trouver. Je me souviens de l’existence du vampire et me tourne vers lui.

Sanghiras : Excusez-moi, j’ai quelque chose à faire. Bonne journée.

Je tourne les talons et quitte précipitamment l’infirmerie. Je la cherche et localise sans peine son aura, bien que je ne l’ai jamais scanné, c’est comme si je l’avais retenue inconsciemment quand je l’ai croisée. Sans plus réfléchir je cours, vers l’endroit ou je pense qu’elle se trouve. J’ai l’impression d’oublier quelque chose, mais peu importe.

Sanghiras : Vous savez, je ne suis pas en cou….
pourquoi s'interompai t'elle? cherchait elle ses mots a moin le vampire ait encore dit un mot de trop
Sanghiras : Zelina !
ulrick était complétement perdu il ne comprenait plus le sens de la discussion comme si il avait raté une phrase
Sanghiras : Excusez-moi, j’ai quelque chose à faire. Bonne journée.
sanghiras tourna les talons et se dirigea vers la sortie de la pièce puis se mis a courir dans une direction ne comprenant pas sa réaction ulrick courut pour la rattraper , il ne connaissait pas les lieux et n'était pas tout a fait rétabli mais peut importe il la suivait il devait comprendre apres un bref instant il finit par retrouver la femme et l'interpella d'une petite tape sur l'épaule
ulrick: excusez moi... je n'ai pas eut le temps de vous dire au revoir...
avez vous un problème? je suis la si vous avez besoin d'aide c'est la moindre des choses que je puisse faire...peut importe la nature de cete chose
ulrick était quelques peu gêné il avait l'impression de forcer la conversation et de la retenir inutilement mais il se sentait également obligé de lui venir en aide.
Il la regardait droit dans les yeux l'air inquiet il ne voulait surtout pas la brusquer ou l’offenser de quelques sortes..mais c’était peut être déja fait...quoi qu'il en soit il devait s'en assurer
(un peut court sorry dame sanghi T^T)

Je ne suis plus focalisée que sur ma nouvelle proie. Je cours à en perdre quand une petite tape sur l’épaule accompagnée d’une aura que je viens de rencontrer m’arrêtent brusquement. Je me retourne pour tomber sur mon séduisant vampire. Je réalise à alors que je l’ai peut être inquiété à partir ainsi sans prévenir. Me plonger dans ses yeux rouges me ramène à la réalité et me permet d’échapper à la folie. Est-ce qu’il s’est blessé ? Il n’est pas en état de me courir après !

ulrick: excusez moi... je n'ai pas eut le temps de vous dire au revoir... avez vous un problème? je suis la si vous avez besoin d'aide c'est la moindre des choses que je puisse faire...peut importe la nature de cete chose

Je le regarde, bouche bée. Tant de gentillesse et de compassion me surprennent. De nouvelles larmes commencent à me monter aux yeux. Des larmes de joie cette foi ci. Je les retiens tant bien que mal.

Sanghiras : Je suis désolée, c’est quelque chose que je dois accomplir seule, et puis, je ne voudrais pas t’attirer d’ennui.

Je ne sais pas quoi rajouter. Je voudrais lui dire que je suis touchée de son attention mais les mots ne sortent pas. Ce n’est pas si grave. Je pourrais peut être lui dire plus tard, mais…. Est si je me faisais tuer par Zelina ? Elle est beaucoup plus forte que moi ! Et si je ne revoyais jamais ulrick ? Je craque, j’ai l’impression que je vais recommencer à pleurer. Avant qu’il ne le voie, je le serre dans mes bras.

Sanghiras : Au revoir Ulrick.

(pas grave, t'inquiète pas, je n'ai pas fait beaucoup plus long cette foi ci)

Sanghiras : Je suis désolée, c’est quelque chose que je dois accomplir seule, et puis, je ne voudrais pas t’attirer d’ennui.
maintenant il en était sur c'était soit dangereux soit totalement insensée mais il ne pouvait pas la retenir sans raison. d'une part il n'avait aucune raison suffisante pour retenir la femme mais d'une autre il sentait qu'il ne l'aurait pas fait même si cela aurait été dans ses moyens...après tout il n'allait pas la séquestrer a ses cotés elle en avait déjà tellement fait pour lui (bien que cela était réellement tentant) ...de plus il se sentait légèrement comme un petit chien a courir après quelqun sans raison valable...
sanghiras se tourna et le serra soudainement dans ses bras
Sanghiras : Au revoir Ulrick.
cette étreinte avait eut sur lui l'effet d'un coup de poignard il avait compri au meme instant qu'il souhaitait la protéger et cela non plus uniquement pour le seul fait qu'elle lui ai sauvé la vie.... il se sentait réellement..lié.
Il pensait a un moment que cela était du au fait de mordre réellement un vivant cela devait le connecter un minimum avec la personne. Après tout il absorbait une partie de celle-ci mais cela semblait plus fort qu'un simple lien sanguinaire.
il s’était en quelques heures a peine attaché a cette prénommée sanghiras.
Il lui rendit timidement son étreinte en lui murmurant qu'il sera la si elle a besoin de lui et qu'il attendrait son retour


tandis que sanghiras s'éloignait ulrick réfléchissait a la nature de ses sentiments, cela était tout nouveau pour lui il ne connaissait que si peu des sentiments entre deux personnes n'ayant pas de différents.il la regardait partir en s’interrogeant sur la durée
au moin une chose était sure a présent...il avait trouvé la personne qu'il souhaitait protéger. et cette personne c'était elle