Aujourd'hui, a était le jour le plus merdique de toute la semaine. Pour une raison que j'ignore, j'ai tabassé, pour la plupart, presque à mort une grande partie des élèves qui me chercher des noises. J'ai été facilement irritable pendant la journée. Et c'est au final à cause d'un mal de crane insupportable que j'ai me suis taper, que je me suis retrouvé devant la porte de l'infirmerie. Il y avait une drôle d'odeur, une odeur salé, caoutchouteuse et un peu sucré. 

Pourquoi ça pu le sperme ici ?!

Je suis donc rentré dans l'infirmerie, où je suis tombé à genoux, après avoir refermé la porte bien sûr. Plus que l'odeur de semence, il y avait cette odeur sucré et douce qui me fit perde la tête je ne sais plus combien de fois. J'ai toujours était attiré par une espèce d'humain en particulier. Les sorciers et leurs douce fragrance m'ont toujours beaucoup attiré. Et c'est justement ce qui m'attira vers le jeune homme se trouvant sur un des lits.

Je le veux, je le veux vraiment !

Un visage doux, des cheveux d'or, j'aurais pu ne pas le remarquer sans cette odeur.
Ma main passa sous les vêtement du bel endormit et lui massa le trésor qu'il caché dans son boxer tandis que je m’occupais de la zone érogène de son cou entièrement à ma merci. La respiration saccadée de ce petit blond était extrêmement envoûtante.
Je redescendis vers son membre, retirant au passage son boxer qui libéra sa verge qui se dressa fièrement devant moi.  Je donna de petit coup de langue sur sa verge et son gland rosé. Un pur gémissement de plaisir ne tarda pas à se faire entendre.

Je le prends en bouche et commence de tendres va et vient le long de sa colonne de chair.

Je lèvais les yeux sans arrêter mes allers-retours, toujours à vérifié si son sommeil continué. Je lui mordille légèrement le gland. Sa tête se jetait en arrière et son corps se cambrait comme s’il était traversé par un courant électrique. Quelques voyages de plus sur son sexe et il me lanca :

Je me suis redressé et l’ai embrassé à pleine bouche. Je le masturba et sa jouissance ne tarda pas à venir. C’était tellement intense que j’en avis plein les mains. Étrangement, on aurait dit que pour lui ce n'était qu'un rêve, donc c'est dans la pensé qu'il ne se réveillerait pas de tout de suite que j'ai été chercher des mouchoirs dans la boite posée sur le bureau pour l’essuyer, et ma main aussi en passant. C'est donc après l'avoir essuyé, rhabiller que j'ai remarquer sa colonne de chaire se redresser. Et pas que cela, le petit blond, qui en réfléchissant était sûrement l'infirmier ce réveilla. Surpris, je m’étais caché, derrière un des rideaux qui entouraient les lits.

C'était plus le temps de réfléchir, je devais m'éclipser. Mais c'était sans compter sur ma maladresse qui fit tombé plusieurs ustensile. Maintenant, il était plus question de partir comme un voleur ou plutôt, comme un violeur.

Il est trop confiant ce sorcier ! Mais je me demande pourquoi il a légère odeur de félin sur lui.

Et avant que je ne dise ouf, il me pris dans sa bouche. J’enfonçais mes ongles dans le matelas pendant qu’il passait sa langue sur toute la longueur de mon sexe. Je baissais la tête vers lui avec des yeux écarquillés et il sourit avant de tout prendre en bouche. Ses mains se déplacèrent sur mes hanches, me maintenant en place pour m’empêcher de faire des va-et-vient contre lui. Tout ce que je pouvais faire, c’était gémir à la sensation de sa bouche humide et chaude sur moi, de ses dents qui touchaient délicatement ma queue. Je fis courir les mèches soyeuses de ses cheveux entre mes doigts pendant qu’il montait et descendait sur mon membre douloureux.
Une de ses mains prit délicatement dans son creux une de mes testicules, la faisant rouler dans sa paume pendant qu’il continuait à avaler plus profondément mon pénis. Sa bouche était tellement douce, sa langue comme du velours contre moi, que je voulais que la sensation dure éternellement. Mais plus il bougeait rapidement, plus le bout de mon sexe frappait contre le fond de sa gorge et plus j’étais proche de perdre pied.
J’essayais de le ralentir en tirant plus fort sur ses cheveux, mais il devait avoir aimé ça parce qu’il gémit. La vibration de sa bouche contre moi fut trop dure à supporter. Je criais au même moment que ma queue éjaculait, remplissant sa bouche de sperme. Il avala avidement, ne lâchant mon sexe qu’une fois que j’eus gémi d’inconfort.
Il me sourit, léchant ses lèvres luisantes de salive et rouges de l’effort qu’il venait d’accomplir. Je soupirais, m’étirant pour le presser de revenir sur moi et de m’embrasser. Il le fit, son pénis laissant une trace brûlante de sperme sur ma hanche quand il se déplaça. Parce que oui, il s'était désaper en passant, me demandez pas quant et comment.
Je pressais sa bouche contre la mienne, forçant la barrière de ses lèvres avec ma langue, me goûtant dans sa bouche. Une de ses mains agrippa la mienne, l’appuyant sur le matelas et l’utilisant pour m’écraser un peu plus contre lui. Je déplaçais ma main entre nous, prenant fermement son sexe et caressant de mon pouce la tête luisante. Il cria dans ma bouche alors que je pouvais sentir sa semence, chaude et épaisse, jaillir sur ma poitrine entre nous. Il essaya de se dégager, mais j’attrapais l’arrière de sa tête, l’obligeant à m’embrasser pendant une nouvelle minute avant de finalement le laisser s’écarter de moi.

Je sifflais en sentant la première brûlure de mes muscles en train de s’écarter pour s’adapter à lui, puis me forçais à me relaxer pour le laisser pousser son membre en moi.
Quand il fut complètement enfoui en moi, j’eus le sentiment incroyable d’être complet, pour la première depuis bien longtemps.
Puis il se mit à bouger. Après plusieurs va et viens plutôt violent de sa part, mais bien que la douleur soit tout aussi plaisirs, je ne pu que retenir ma voix et les gémissement que ma bouche sortait.

J’entourais sa taille de mes jambes, le laissant claquer contre moi avec tellement de force que le lit se balançait sur ses pieds. Je tendis un bras pour m’accrocher à quelque chose, mais je ne trouvais rien d’autre que les siens pour me tenir, alors je verrouillais mes mains dessus, plantant mes ongles dans sa peau. Mais nous étions tous les deux beaucoup trop emportés par la passion pour nous en rendre compte.
Nos semence que je sentais, chaudes et mouillées, sur mon torse et en moi. Il essayait de me maintenir en place, mais la surface lisse et la matière des drags, bien que l'odeur ne soit en rien désagréable, [comme à la maison, pamplemousse xD]me faisant glisser de plus en plus loin de lui. Cela aurait pu être drôle si nous n’avions pas été tous les deux aussi proches de l’orgasme.
Je jouis le premier, mes cris ricochant contre les murs de l'infirmerie tandis que d’épais jets de sperme jaillissaient sur ma poitrine, et Chaat me suivis immédiatement. Gémissant pendant qu'il me remplissait.
Il s’effondra sur moi, m’embrassant violement, ses mains étaient toujours recouvertes de salive et de sperme, mais essayaient quand même de saisir les miennes. Je commençais à rire et le sorcier m’imita immédiatement. J’entendis un craquement assourdissant et nous tombâmes tous les deux sur le sol alors que le lit s’écroulait en dessous.
Je restais abasourdi pendant quelques secondes d’éclater de nouveau de rire.

Pour une raison obscure, cela me parut encore plus hilarant et je me mis à rire plus fort. Des larmes coulèrent le long de mes joues et je réalisais que je ne m’étais pas senti aussi bien depuis des années. J’essayais de trouver une répartie spirituelle, mais il n’y avait rien à dire. J’étais recouvert de sperme, de sueurs, de morceaux de bois et de métal, du sang du a mon atterrissage sur les débris du lit, et Chaat m’écrasait contre eux, mais je n’avais pas souvenir d’avoir jamais été plus heureux.

Je me perds dans ses sensations si primitives, si bestiales, si intenses. Le corps de Chaat se mouvant derrière moi, son frein me talonnant de l'intérieur, me brassant... il me rend fou. Je n'arrive plus rien à gérer, je suis comme dans un état second. Je gémis de plaisir. Gémissement qui se transforment parfois en cris de total plaisir. Ma respiration est saccadée, je me sens dominé et je me surprends à aimer ça. Nos corps s'emboîtent comme si nous étions fait pour être ensemble. Ses doigts dans ma bouche.... je les suce instinctivement... les sensations sont multipliés, je deviens fou, la pièce tourne, ses doigts entrelacent les miens, je referme mon étreinte sur ses phalanges. Une de ses mains descend sur mon frein et entame un long va et vient à m'en rendre fou. Des éclairs électriques semblent partir de la base de mon sexe pour remonter de le long de ma colonne vertébrale. Le blond augmente le rythme, je me perds entre la frontière du réelle et de l'irréelle, j'ai l'impression de planer, d'être shooté, de ne plus être là.

Tout est si flou, je suis plongé dans une totale jouissance... je n'entends que mes gémissements, sa respiration roque contre mon oreille et les claquements de ses hanches contre mes fesses. Tous ces sons sont si érotiques, si envoûtants que je ne peux qu'en être entraîné, plongeant gentiment vers le fond du gouffre... Je m'accroche à lui plongeant mes dents dans la peau de son épaule avant de gémir encore et encore. Je n'en peux plus, je griffe le haut de son dos avant de jouir dans un cri. Mon corps est tremblant, presque en trance. Il ne tarde pas à me rejoindre à son tour dans un gémissement roque. Il se laisse ensuite tomber sur moi, moi, une jambe de par et d'autre de lui, son sexe toujours en moi. On est autant essoufflé l'un que l'autre. Mes yeux sont clos, et sa tête est dans le creux de mon cou.

Peut être était-il attiré par mon aura de démon, je n'en savais rien. Mais moi aussi j'était attiré par lui, et ce n'était pas que le fait qu'il soit un sorcier qui m'intéressais. Il avait une autre odeur sur lui qui m'intriguait beaucoup. Ses tendres bras, ne voulant sûrement plus me lâcher, sont si chaud. Je le sens s'endormie sur moi. Il m'écrase. Je le serre très fort dans mes bras, et là, je me retrouve avec un petit chat noir sur le ventre. Je le déplace sur le bureaux pour pouvoir me revêtir, après avoir quant même essuyé nos deux semence commune sur mon corps.

Après avoir remis mon boxer et mon pantalon j'observe avec attention le félin qui ronronne, pendant son sommeil, sur le bureaux.

Je l'ai pris dans mes bras après avoir enfilé mon haut. je me suis alors installé sur le deuxième lit de l'infirmerie et mis suis couché toujours avec le chaton dans mes bras. Je l'ai vu ouvrir ses magnifique yeux vert.

Cette petite boule de poile sombre, m'observait avec ses magnifiques globes oculaire. Je crois que ça se devine facilement, mais j'adore les animaux, en particulier les plus petits.
Je crois que je peux lui dire, oui a lui ça devrait le faire

C'est sous l’apparence de se petit corps qu'il me dit son vrai nom. Je me disais bien que "Chaat" n'était pas un nom que l'on donné a son enfant. Il me plaqua sur le lit et se mit sur moi après avoir repris son apparence humaine. Belle vue. Pour le coup, j'émit un grognement, car être plaqué comme cela, me déplais. Mais vu la position et le contexte, je le pris dans mes bras.

Je sentais son cœur battre. Un cœur qui bat, sa fait du bien. Ses douces lèvres sur les mienne, ma main toujours sur son torse. Je pouvait sentir son sang circuler dans son cœur. Rentrer dans les ventricules et sortir ensuite par les artères. Mon cœur a moi, bat plus lentement que celui des humains, chose que je n'ai jamais compris car celui des autres démons et ange on l'air de battre normalement.

Il se changea un chat, surement pour mieux être pris dans mes bras. Même sens cette apparence, je n'avais nullement l'envi de le lâcher. Ne serait-ce que pour une second. Cette pensé me fit rire mais oui. Je le voulais pour moi et pour longtemps.

Il s'exécuta sans vraiment s'interroger, redevenant ainsi le beau blond aux yeux ambre d'il y a quelque minute. Va t'il avoir peur si je fais cela ?.

Je lui attrapa le poignet gauche avec les deux mains et le serra très forts.

Je me mis alors a réciter mes psaumes. En faisant cela sous ma forme de démon, mes cordes vocales risquaient de se retrouver brûlées mais je n'en avais rien a faire a ce moment. Ma marque apparaissait lentement sur le poignet de Chaat alors je ne voyait pas pourquoi je m'arrêtais maintenant. Ma gorge se remplissait  lentement et douloureusement de sang mais pour ma partie démoniaque, c'était terminé. Je continua a réciter les psaumes, comme ci ils ne m'avaient causé aucun dommage, aucune douleur, sous ma forme angélique. La marque étant maintenant bien visible, je termina. De grandes flammes bleues apparurent pour seller le pacte et comme pour dissimuler mon apparence. Une apparence que je n'aime guère, voir même déteste, mais qui révelle alors mes grandes et puissantes ailles noires et blanches.

Après que tout soit redevenu a la normale, je pris le poignet de Chaat et l'embrassa a l'endroit même où ce trouvé a présent ma marque.
Pour moi cette marque compte beaucoup. Je ne l'ai jamais posé sur quelqu'un. J'ai bien posé un sceau sur Tevac, mais ce sceau signifie "famille" et non "vie".

Le fait étant que j'étais toujours sous ma forme angélique et que la lentille de contacte rouge sur mon oeuil gauche avait disparut donc laissait apparaître mes yeux verron. D'ailleur ce qui est étrange, c'est que si je devais comparé ma transformation a quelque chose je dirais forcément un miroir. De plus, je ne risquais pas de retrouver mon apparence démoniaque très vite sauf si par miracle je trouvais du sang. Ma gorge de démon était très abîmé et nécessitait du repos sous ma forme d'ange, du sang ou une grande source magique.
Mes ruban avait beau pouvoir me guérie, ils ne pouvaient rien car je m'étais infligé moi même ces blessures.

Je me suis réveillé sur un lit, sous ma forme démoniaque, avec un beau blond endormi à mes cotés. Ce qui s'était précédemment passé était un peu flou dans mon esprit mais je me souvenait de bien d'une chose.
Ma marque, bien visible sur son poignet me rire. Bien que cela me provoqua une grande douleur à la gorge, elle était maintenant guéris, enfin en parti. Ce que j'ai fait, en reviens à voir un vampire réciter la bible.
Je toucha la tête du petit blond et il se transforma en chat. Je l'ai pris dans mes bras et tout en me levant je l'ai caressé.
J'ai pris mon portable et j'ai envoyé en message a Tevac, pour lui dire que j'allais lui présenter quelqu'un mais que je risquais d'être fatigué pendant un moment. Pourquoi un message et pas un appel directement ? Parce que je tiens quant même à ma voie !
Je me suis approché de la porte et avant de sortir de la salle, j'ai observé la pièce. Je trouvais cela comique qu'en quelque ure, j'avais trouvé une personne à qui je pouvais totalement m'abandonner. Mais dans un sens, cela était aussi terrifiant qu'émouvant. Je pouvais peut-être bloquer le temps d'un espace, mais je ne pouvais pas prévenir l'avenir, et c'est cela qui me faisais le plus peur. J'avais déjà perdu beaucoup de personnes auxquelles  je tenais et lui je voulais le gardais près de moi pour toujours. C'est pas le moment de regretter ce qui c'est passé...
Je suis donc sortie de la salle en direction du dortoir, avec dans mes bras, Darragh.