course contre le soleil (pv chapi, barni)

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suite du rp dans le cinéma: https://sekuen-seruki.forumsrpg.com/t477p15-mais-qu-est-ce-que-je-fais-la-pv-chapi#5336

La douceur silencieuse de la forêt se fait plus oppressante alors que je découvre que le temps nous est véritablement compté. Je commence à prendre conscience de la gravité de la situation. on risque véritablement de perdre cette saleté de professeur. Je ne l'aime pas, mais je ne suis pas cruelle pour autant....

« Effectivement, jeune fille. Je propose que nous rentrions tous ensemble. Vous pourriez avoir des problèmes en chemin, et il est de mon devoir de veiller sur vous, même en dehors des heures de classe. »

Je me retiens de lui répliquer que les seuls problèmes que l’on risquerait d’avoir ce sont ses crocs insatiable, mais je me maîtrise. Le résultat est là. Il vient avec nous…urg ! La pensée ne me plait guère. En plus de le supporter de façon régulière à Sekuen, je vais devoir le raccompagner ? Je crois que je n’ai pas le choix de toute façon. C’est ça ou affronter ma conscience. Je préfère encore ça.

Bien allons-nous partons vers quelle direction ? Moi j'ai n'ai pas trop de solutions pour retrouvais la direction vers l'école, mais vous comme vous êtes vampire et mi vampire, peut être que vous pourriez retrouver nôtres chemin ? Pas vrai ?

Bien sur que non… on a un peu de flair mais on n’est pas des chiens non plus. Sans vouloir insulter les lycans : j’aime bien Nathaniel. Ceci dit, à l’odeur du sang ce devrait être possible, mais je n’ai pas envie de voir les dents du monstre se refermer sur quelqu’un d’autre dont le sang l’aurait attiré. Mieux vaut choisir un moyen plus traditionnel. J’ignore la tentative de Valérie pour engager la conversation, ses scénarios catastrophes et la crise de panique de son animal. Ça m’aurait peut être fait plaisir de lui parler en tant normal mais avec ce professeur à côté, je ne me sens pas à mon aise.

Sanghiras : j’ai compris le message. Je connais le chemin du retour. Ce sera un plaisir de vous guider jusqu’à l’école… à moins qu’une paire de crocs ne se referme sur ma gorge d’ici là….

Ça y est c’est dit. Ma colère s’est un peu calmé, bien que je ne lui pas tout à fait pardonné. Moi rancunière ? Mais du tout, voyons. Je vis par la rancœur. Et quand bien même je lui pardonnerais, ça ne m’empêcherais pas de sécher des cours. Et là, il ne s’agit pas d’être rancunier ou non, mais d’instinct de survie. La tête haute, peu rassurée de sentir la sangsue dans mon dos, je prends la tête pour les guider. Evidemment je connais le chemin. En bonne vampire solitaire, je connais par cœur ses bois qui environnent Sekuen. Les guider sera un jeu d’enfant.

Sanghiras : faites attention aux branches basses ou encore aux branches morte qui peuvent tomber des arbres. Le sol est instable par endroit aussi. Ne faîtes pas n’importe quoi. Je n’ai pas envie de passer par la case acolyte en rentrant.

Je m’avance en tête sentant la présence du professeur derrière moi et ne pouvait m’empêcher de me retourner furtivement avant de fixer de nouveau le chemin. Avoir l’énergumène à portée de vue me rassurerait plus.

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La mélangeuse semble réfléchir. Elle me jette des regards noirs. Nul doute que cette petite ne m'aime guère. Pourtant, je ne lui ai rien fait. Bon d'accord, j'ai failli la vider de son sang, mais j'avais soif. Etant mi vampire, elle devrait me comprendre pourtant. Pourquoi tant de rancoeur ? Serait-il possible que quelqu'un ait gâché sa vie en la mordant ? Et que par ce fait, elle haïsse les vampires, tout comme moi je n'ai que de la haine pour les sorcières ? Peut être bien. Cette théorie est tout à fait plausible.

Je la regarde, elle me regarde, bref, nous nous regardons. Cet échange silencieux, plein de haine et de colère pour elle, et de calme pour moi, dure bien quelques instants. C'est Valérie qui rompra le silence qui venait de nous piéger.

« Bien allons-nous partons vers quelle direction ? Moi j'ai n'ai pas trop de solutions pour retrouvais la direction vers l'école, mais vous comme vous êtes vampire et mi vampire, peut être que vous pourriez retrouver nôtres chemin ? Pas vrai ? »

Moi, je sais où se trouve l'école bien sûr. Je n'ai aucun mal à me repérer et me diriger. Néanmoins, je veux laisser une chance à la jeune Sanghiras. Je suis sûr qu'elle est très douée, et qu'elle nous guidera par delà les bois jusqu'au château.

« j’ai compris le message. Je connais le chemin du retour. Ce sera un plaisir de vous guider jusqu’à l’école… à moins qu’une paire de crocs ne se referme sur ma gorge d’ici là…. »

Oh, touché. Ainsi donc, c'est cela qui lui a déplu. Mais j'ignorais à qui j'avais à faire. Et il est important pour un vampire de se nourrir ! Je n'allais tout de même pas me laisser mourir de faim. Tout cela me rappelle que je n'ai toujours pas dîné. Je me rattraperai la nuit suivante. Sans que Demoiselle Sanghiras en soit au courant. Car visiblement, la jeune fille est très...Rancunière. Et je dois éviter de me faire des ennemis parmi mes élèves.

S'avançant, la demoiselle déclara :

« faites attention aux branches basses ou encore aux branches morte qui peuvent tomber des arbres. Le sol est instable par endroit aussi. Ne faîtes pas n’importe quoi. Je n’ai pas envie de passer par la case acolyte en rentrant. »

Au moins semble t-elle se soucier un tant soit peu de la sorcière. Car il est évident que ce n'est pas toutes ces petites choses qui pourront m'égratigner. Alors qu'elle marche en tête de notre cortège, je la vois, de temps à autre, se retourner vers moi. Anxieuse ? Mieux vaudrait que je la rassure. Je m'avance, la rattrape, arrive à sa hauteur.

« Je m'excuse une nouvelle fois pour ce qui s'est produit tout à l'heure. Ce n'était pas voulu. Je voulais tarir ma soif, et je n'ai pas senti que vous étiez de Sekuen. »

Pourquoi me justifiais-je ? Après tout, je suis professeur. Si les élèves ne m'apprécient pas, peu m'importe. Oui mais...je dois éviter de me faire des ennemis, ou bien Angélique pourrait me retrouver. Brrr, odieuse sorcière. Rien que de penser à elle me donne des frissons. Bref.

« En tout cas Demoiselle Sanghiras, ne vous en faîtes pas, cela ne se reproduira plus. »

Je suis sincère, mais peut on prêter foi aux paroles d'un vampire ?

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Sanghiras a l'air perdu dans ses pensées, avec ses yeux colériques elle pourrait tuer un troupeau de bison, le professeur a l'air d'être gênait par son regard si rancunier. En même temps je serais en colère moi aussi si on voulait prendre tout mon sang jusqu'à la dernière goutte, comme un saumon par une sangsue. Et je doute qu'elle croie qu'il voulait lui faire une saignée dans un but médicinal, Sanghiras a peut-être une dent contre les vampires ? Peut être même une canine ou deux. On dirait qu'on a tous quelque chose contre un clan ici.

Ils se lancent des échanges de regard, si les vampires pouvaient parler entre eux en pensées, je me demande bien ce que Sanghiras doit lui dire. Une personne peut rester énerver contre une autre personne qui a voulu la vider de son fluide vitale pendant combien de temps ? Tout dépends de la personne, en fait, j'avais tellement de questions à poser au sorcièrophobe, mais il était occupé avec Shangiras à faire leurs trucs. En attendant Sanghiras connait le chemin de l'école. Bravo, elle lui a bien claqué le bec, même si elle aurait pu faire mieux. Je me demande si le professeur sait que c'est à cause de la presque morsure qu'elle est énerver, il n'a tout de même pas crut que c'est à cause de sa coupe de cheveux qu'elle ne l'appréciait pas. Sanghiras donnait des conseils, enfin c'est un peu, comment dire, j'ai vécu dans la forêt toute ma vie jusqu'ici, je le savais déjà. Je crois qu'elle veut être gentille, je vais essayer moi aussi...

Ah trop tard, il recommence à faire ciel et terre pour qu'elle lui pardonne, ce n'est pas avec de belle parole qu'on se fait pardonner, mais quand la personne vexait lui donne une gifle ou autre. C'est sûr que s'il recommence elle lui arracherait les dents avec sa tête. Bon j'imagine que je dois dire un petit mot pour détourner la conversation :

Euh, monsieur Barnabas, si cela n'a pas trop l'air déplacer, pourriez-vous nous dire pourquoi vous êtes venu à l'école ? Bien qu'étant nouvelle je ne crois pas que c'était pour enseignait que vous êtes spécialement venu à Sekuen, non ? Ah oui et autre chose...

Aller on lui fait un peu peur, je sors un pieu en bois pour découper... la cage qui enferme une sorte de batracien bien dodue et quelque sangsues. Je prends la chose-grenouille et la montre au professeur, tendis que les sangsues sont rester dans la cage.

Je voulais apporter cela a ma grand-mère, car elle adore les cuisses grenouilles, mais comme vous avez l'air d'avoir faim, ce que je veux dire, qui a assez faim pour tuer une grenouille ? Ah oui et rassurait vous professeur, ce n'est pas une belle princesse que j'ai transformer.

Concernant les sangsues, mère-grand en avait besoin pour sa choucroute à la citrouille, c'est immonde et il y a qu'elle qui réussi a en mangé une part sans s'évanouir. Enfin j'espère ne pas passait pour une fayote, puisque que je la montre tout aussi bien à Sanghiras que Barnabas, enfin ne vous volons pas la face j'ai misun peu de poudre éternuante sur la grenouille, pour faire rire un peu Sanghiras. Je pourrais toujours dire que la grenouille est toxique ou gagné une retenue. La grenouille est bien assommait en tout cas ou alors ça doit être les vibrations des cernes du professeur qui l'hypnotise.

Invité

IL vient marcher à ma hauteur. Voila qui est plus rassurant.

Barnabas : Je m'excuse une nouvelle fois pour ce qui s'est produit tout à l'heure. Ce n'était pas voulu. Je voulais tarir ma soif, et je n'ai pas senti que vous étiez de Sekuen. En tout cas Demoiselle Sanghiras, ne vous en faîtes pas, cela ne se reproduira plus.

Que cela ne se reproduise plus ? Heureusement encore. Il a l’air sincère. Mais tout de même. Ce n’est pas avec des jolie et des phrase bien construite que l’on se fait pardonner. Et d’ailleurs, je n’aime pas qu’il m’appelle « demoiselle sanghiras . Dans sa bouche le respect qui devrait teinter ces mots parait vicié. Tout de même, je me sens moins en colère. Je commence à retrouver mon sang froid. Cela ne veut pas dire que je vais lui sauter au cou. Je ne l’aime toujours pas. Je reste imperturbable, impassible, indéchiffrable et le regarde fixement. Valérie finit par intervenir.

Valérie : Euh, monsieur Barnabas, si cela n'a pas trop l'air déplacer, pourriez-vous nous dire pourquoi vous êtes venu à l'école ? Bien qu'étant nouvelle je ne crois pas que c'était pour enseignait que vous êtes spécialement venu à Sekuen, non ? Ah oui et autre chose...

Elle sort un pieu qu’elle utilise pour briser une forme de cage. Un pieu ? Elle compte faire peur à qui ? Vu la rapidité du prof…. Et moi ? Je suis à demi vampire, est ce que j’y serais vulnérable ? Il serait intéressant pour moi de me renseigner là dessus de faire quelque expérience.

Valérie : Je voulais apporter cela a ma grand-mère, car elle adore les cuisses grenouilles, mais comme vous avez l'air d'avoir faim, ce que je veux dire, qui a assez faim pour tuer une grenouille ? Ah oui et rassurait vous professeur, ce n'est pas une belle princesse que j'ai transformer.

Je regarde le contenu de sa boite. Des sangsues et des grenouilles. Voila un repas bien appétissant, c’est vrai quoi ! Qui ne voudrait pas en manger au petit déjeuner ?
Enfin, Valerie à l’intention de se mettre dans les bonnes grâces du prof ? C’est son droit le plus strict, mais ce n’est pas mon intention. Je répond poliment à Valérie.

Sanghiras : Non merci, je n’ai pas très faim, pour ma part.

D’une, parce que ce maudis vampire m’a coupé l’appétit. Et de deux parce que je ne suis pas encore assez folle et maso pour accepter de la nourriture venant de quelqu’un que je considère comme une sorte de psychopathe. Je m’abstiens cependant de donner tout conseil au prof

Sanghiras : Et les cuisses de grenouilles ne sont pas ma tasse de thé.

Bon il est temps de passer à autre chose et de mettre les points sur les I avec M. Collins. Je me tourne vers lui et énonce clairement.

Sanghiras : Ne le prenez pas mal professeur. Mais je ne suis pas quelque de masochiste ni de soumise, je n’ai pas l’intention de me faire vider de mon sang. Alors sauf le respect que je vous dois, si vous recommencer quelque chose de ce genre, je m’assurerais personnellement à ce que vous puissiez contempler le lever du soleil.

Une menace…. Ça pourrait me couter très cher et de toute façon je ne suis pas sure d’avoir la dessus face au professeur, je suis même quasiment sure de perdre à plate couture, mais je n’ai pas l’intention de rester passive devant toute les agressions. C’est aussi une manière de faire comprendre que même si je n’ai pas l’intention de faire ami ami avec lui, je lui pardonne temporairement.
Je prête une oreille à demi intéressé à demi intéressé à ce que va répondre notre invité indésirable aux question de la sorcière.. Bien qu’il m’exaspère ce professeur éveille ma curiosité. Je regarde le ciel, en parti caché par les arbres. Je ne sais pas si Collins a l'intention de casser la croute, mais il fera très bientôt jour. L'aurore commence à poindre.

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« Euh, monsieur Barnabas, si cela n'a pas trop l'air déplacer, pourriez-vous nous dire pourquoi vous êtes venu à l'école ? Bien qu'étant nouvelle je ne crois pas que c'était pour enseignait que vous êtes spécialement venu à Sekuen, non ? Ah oui et autre chose... »

Curieuse la petite. Et en plus elle se trompe. Quoi que...Partiellement. Bon d'accord, c'est effectivement pour fuir l'horrible sorcière, mais pas entièrement. C'est aussi un moyen de me ré-intégrer. Il le faut bien de toute manière, non ? Je pose mon regard sur la jeune fille à la cascade de cheveux aux couleurs flamboyantes. Un léger spasme me parcoure. J'ai toujours du mal avec les sorcières visiblement. Cela ne me surprend qu'à moitié.

Soudain, un geste attire mon oeil. La sorcière sort un pieu. Je le savais. Elle compte me tuer. Mais je dois protéger Sanghiras ! Après tout, elle m'est en quelque sorte semblable, même si je sais qu'elle détesterait que je lui en fasse la remarque. De plus, c'est une de mes élèves, et je me dois de les protéger, tous autant qu'ils sont. J'ai visiblement eu tord de m'inquiéter. Valérie ouvre une cage avec l'arme.

« Je voulais apporter cela a ma grand-mère, car elle adore les cuisses grenouilles, mais comme vous avez l'air d'avoir faim, ce que je veux dire, qui a assez faim pour tuer une grenouille ? Ah oui et rassurait vous professeur, ce n'est pas une belle princesse que j'ai transformer. »

A t-elle vraiment crû que je mangerai ça ? Pour qui me prend elle ? Je suis un vampire. Une créature noble, bien que damnée. Et je ne laisserai personne ne m'insulter de la sorte ! Je m'apprête donc à lui répondre mais Sanghiras me devance.

« Non merci, je n’ai pas très faim, pour ma part. Et les cuisses de grenouilles ne sont pas ma tasse de thé. »

Suite à quoi la demoiselle aux longs cheveux aussi sombres que l'ébène se tourne vers moi. Téméraire. Pour sûr, elle n'a pas froid aux yeux la petite Sanghiras. Je la regarde à mon tour, sans dévier le regard. Je ne cherche nullement la provocation.[i]

« Ne le prenez pas mal professeur. Mais je ne suis pas quelque de masochiste ni de soumise, je n’ai pas l’intention de me faire vider de mon sang. Alors sauf le respect que je vous dois, si vous recommencer quelque chose de ce genre, je m’assurerais personnellement à ce que vous puissiez contempler le lever du soleil. »

[i]Visiblement elle me pardonne. Pour le moment. C'est déjà bien assez. Je me tourne vers Valérie la sorcière et fait une révérence.

« Veuillez m'excuser, mais je dois refuser cette proposition. Nous n'avons plus de temps à perdre. Le soleil ne tardera pas. Et je ne tiens pas à ce que la menace de Sanghiras prenne exécution tout de suite. J'ai encore quelques affaires à régler dans ce monde. Suite à quoi je pourrai partir. Sans doute. »

De nos jours, il est presque aussi difficile de survivre qu'à mon époque quand on est un vampire. Je me tourne vers la jeune fille de la classe mélangeuse. Elle seule détient mon destin entre ses mains. Pour le moment. Qu'adviendra t-il ensuite ?

« Nous y allons ? »

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C'est tellement ennuyeux ! Il passe deux ou trois heures à blablatait eux et la pyromane au bout d'une minute j'avais déjà envie de me pendre ! Si seulement il y avait un fantôme dans cette forêt qui puisses être assez bien-veillant pour mettre fin à mes jours ou bout d'une corde ! Oh, mais laisse, énervait je mange tout ce qu'il y avait dans la cage en une seule bouchée et la lance quelque part. Je ne sais pas vers qui je commence juste à avoir l'envie pénible de les laisser ici pour qu'ils meurent tous de la peste ou de la rage.

Bon on ne va pas attendre la saint glinglin, le prochain qui nous fait attendre je lui jette un pieu dans le coeur ! Alors, oui c'est beau de discutait tous ensemble comme dans une réunions des azimutés anonymes, mais on y va là. On n'est pas là pour lire "masquer le meurtre d'un vampire", ou "la vie et moi " aller on y va les morveux !

On se croirait dans un de ses romans à l'au de rose, mais dit lui que tu l'aimes embrasse-la ou pousse-la dans un buisson de ronces qu'on en parle plus, mais dépêche toi ! Je serais mort de rire si la vampire green-peace souffre de masochisme, déjà qu'elle est horriblement névrosée euh nerveuse désoler. Moi je tiens à ce que la menace de la hippie carnivorace prenne exécution sur cette épouvantail des vignobles. Je me demande si le vioc jouait avec les dinosaures en son temps. Enfin moi je suppose que vous vous demandiez ou pas dans ce cas aller voir ailleurs ! Pendant qu'il faisait encore nuit et que je suis aller cherchait un rat, je me suis retrouvait face à une petite fille bizarre et encore plus folle qu'eux. Elle avait essayéde me pendre, en quoi on voudrait me tuait je suis charmant ! Bon bah je vais demander peut-être que leurs petites cervelles arriverait à comprendre :

Pause ! Seulement pour savoir quelqu'un ici sait pourquoi une petite fille toue pale a essayé de me pendre tout a l'heure ?

Aller essayer de captait cela au moins mes petits cochons maniaques.

Invité

Barnabas: Veuillez m'excuser, mais je dois refuser cette proposition. Nous n'avons plus de temps à perdre. Le soleil ne tardera pas. Et je ne tiens pas à ce que la menace de Sanghiras prenne exécution tout de suite. J'ai encore quelques affaires à régler dans ce monde. Suite à quoi je pourrai partir. Sans doute. Nous y allons ?

Je jette un nouveau coup d’œil au ciel et acquiesce. Il ne reste vraiment plus beaucoup de temps.

Sanghiras : Dépêchons nous.

J’accélère le pas et ignore les babillages de cet oiseau de malheur. Mais cela ne suffira pas je le sais. Le soleil se lèvera avant que nous arrivions nous avons perdue la course, nous avons perdus d’avance. Je commence à courir, mesurant mon allure pour que Valérie puisse nous suivre. Je réfléchis au problème. Que faire pour empêcher le professeur de se faire bruler par le soleil ? Le recouvrir d’une couverture sur la fin du trajet ? Est-ce que mes pouvoir d’élémentaire pourrait me permettre de ralentir la nuit. Non je suis élémentaire de l’air et non pas de la lumière. Faire lever un brouillard ? Je ne pense pas non plus, il faudrait des pouvoirs de l’eau. Creuser un tunnel ? Pouvoir de la terre. Je me sens tellement impuissante ! Il y a bien quelque chose que je peux faire ! Et Valérie ? Non elle, elle maitrise le feu si j’ai bien compris… Qu’est ce que je peux faire ?

[c'est très très court désolé]

Invité

Visiblement, l'animal qui servait de "compagnie" à la sorcière s'impatientait. Je l'ignorais, restant complètement impassible aux menaces qu'il proférait. Je me moquais éperdument de ce qu'il pouvait penser. Après tout, ce n'était ni plus ni moins qu'une vulgaire bête. Bête qu'il me serait si facile de dévorer pour rendre à la forêt son silence. Oh comme ce serait agréable. Je n'ai pas été habitué aux bavardages incessants des adolescents. Je sais juste que c'est le meilleur endroit pour se cacher de cette horrible sorcière. Quoi que...Elle est rusée, elle me retrouvera rapidement. Oh diable, pourquoi étais-je en train de côtoyer l'une des siennes ?! Elle pourrait me vendre dès la première occasion ! A moins que...A moins que je ne parvienne à la faire rejoindre mon camp. Oui ! Une sorcière qui lutterait pour moi contre l'autre vile et horrible sorcière qu'était Bouchard ! Quelle brillante idée !

L'animal avait décidé de se taire. Nous avions entreprit de reprendre le chemin de l'école, quand à nouveau il rompit le calme qui nous entourait. Si il nous avait fallu être discrets pour ne pas se faire attaquer, nous serions morts plus d'une fois par sa faute. Pourquoi sa voix était-elle stridente ? Minute...Peut-on parler de voix pour un animal ? Il faudrait que je me renseigne.

« Pause ! Seulement pour savoir quelqu'un ici sait pourquoi une petite fille toue pale a essayé de me pendre tout a l'heure ? »

Alors que nous venions de reprendre notre marche, je me stoppais net. Une petite fille toute pâle ? Pendre ? Serait-ce...? Mais oui ! Le Directeur m'en avait parlé ! La Pendue ! Le fantôme qui hantait la forêt ! Mais...Il n'y avait que très peu de chance qu'elle nous attaque, non ? Alors qu'à nouveau le silence revint, un rire éclata, quelque part, aux alentours, résonnant tout près de nous. Peut être qu'au final, elle risquait bel et bien de nous attaquer. Il ne se passerait rien. Sanghiras et moi ne pouvions pas mourir par pendaison. Nous n'avions pas besoin de respirer après tout. Et il nous serait très facile de rompre la corde. Quant à Valérie, même si elle restait humaine, elle pourrait se libérer. Pourtant, je voyais le fantôme, là, derrière elle, flottant plus haut. Le noeu coulant était prêt. Et le soleil qui ne tarderait pas à poindre. Bien, une seule solution. A la vitesse digne d'un vampire, je courrais vers la sorcière, les attrapait elle et son oiseau de malheur, puis repartais en contre sens. J'attrapais la main de Sanghiras, et, allant toujours de plus en plus vite, je quittais les bois. Hors de danger du fantôme désormais, mais pas encore à l'abris du soleil. Je terminais ma course dans le grand Hall de l'école. Au même moment, le soleil commençait à entrer dans l'école par les portes en chêne. J'allais m'abriter dans un recoin. Ténèbres, rien que ténèbres. Au moins, j'étais en sécurité.

« Et bien, quelle journée forte en émotion. Et elle ne fait que commencer. »

Invité

Scyla était vraiment un animal pas comme les autres, ils pourraient fuir une sourie; mais manger un éléphant. Enfin façon parler je crois, c'est mieux de l'avoir en quelque sorte de son côté plutôt de le voir t'harcelait, par exemple il... Je ferai mieux de rien dire. Enfin bref il aime bien vendre la peau du loup avant de l'avoir éventrait, comme quand il m'avait proposé de faire une fausse rumeur comme quoi le Suprême était une femme et portait une perruque multicolore. Mais surtout il aime mentir, un jour il fait séparait dix couples seulement grâce à ses mensonges, enfin cela et un extincteur. Et aujourd'hui il ne trouve rien de mieux que d'inventait l'histoire d'une petite fille qui pend des gens, le cliché de l'enfant sanguinaire c'est récurant. Que-ce donc cette lueur dans les yeux de Barbara, ça me fait peur. L'espoir chaud et bouillant dans les yeux d'un être froid et sans-âme, je ferai mieux de détournait mon attention de lui je vais fonçait dans un arbre avec de la malchance. C'est moi ou ses yeux me fixe réellement, une gifle les remettrait peut-être a leur place. Enfin tant qu'il ne touche pas à mon chaperon, oh son regard sur moi ! C'est comme un clou me traversant lentement le crane, des milliers de clous couverts de poison ! Et ce froid n'arrange vraiment rien, il fait tellement froid que mes cheveux pourrait éclatait en mille morceau, le vent me sert la gorge tellement.

Je m'apprête à rompre le silence pour soulignait le froid quand. Il touche à mon chaperon ?! Déjà que je n'apprécie pas qu'on me regarde, mais qu'on touche à mon chaperon ! Je me débas tant bien que mal, il met Scyla et moi part terre et survoltée je me lève et hurle :

Touche encore à mon chaperon et je te grille jusqu'au sang ! Personne ne touche à mon chaperon, sale vermine mangeur d'ail des vignobles !

Oups ! J'ai dit ceci a un prof, je m'éloigne. C'est ça un pas en arrière tout doucement, personne n'est là rien de ceci n'est jamais arrivait. Je laisse Scyla encore la tête dans les nuages et m'en vait a reculons, on s'éloigne. Si le Suprême apprend que j'ai insultais un professeur, je suis morte et enterrais d'avance ! Vite fuit lentement, mais surement ! Je suis fichu, oh j'ai tellement peur, mais quand même il a touché à mon chaperon le sal... Retiens toi, pitié pas la peine de maquait à nouveau un meurtre pitié. Je donnais un coup d'oeil vite fait a Scyla, il se relève confusémant et les yeux injectaient de sang et hurle au professeur, ZUT !

Touche encore à mes plummes et je te griffe jusqu'aàce que tu saignes ! Aucun idiot ne pose ses pattes sur mes plumes, pauvre sangsues dévoreur d'oignon de la ferme !

Invité

J’ai du mal à tenir le rythme lorsque le vampire me saisit la main et m’entraine à travers la forêt. Je ne suis qu’à demi-vampire moi ! Et je n’ai pas son âge. Je suis trop jeune pour avoir développée des capacités vampiriques remarquables. Je n’ai toujours pas compris cette histoire de fantôme, ni la présence du nœud coulant, alors je me contente de suivre docilement, ou plutôt je fais de mon mieux pour le suivre.

Barnabas :« Et bien, quelle journée forte en émotion. Et elle ne fait que commencer. »

Je me laisse glisser au sol, tachant de reprendre mon souffle qui pourtant continue de me manquer. Le sol est dur nous sommes à l’intérieur. Je regarde autour de moi pour constater que nous sommes dans le hall. Une multitude de pensée me frappent en même temps. Je ne me laisserai plus jamais tirer par ce vampire. Une journée forte en émotion ? Qu’il parle pour lui ! Ce n’est pas lui qui s’est fait limite trainer et à moitié mordre par une sangsue hystérique. Elle ne fait que commencer ? Nous sommes pourtant le soir. Il a un rythme inversé et devrait bientôt aller se coucher non ? Alors pourquoi ? Mais surtout…. Je réalise qu’il s’est bien moqué de moi. Il ma tiré jusqu’à Sekuen en prenant le chemin le plus court. Il connait donc parfaitement les lieux. Il m’a fait les guider pour rien…. Il ne pouvait pas dire plus tôt qu’il connaissait les lieux ? Et si il m’a menti sur ça, sur quoi d’autre a-t-il menti ? Je me sens comme trahie, pourtant, je le lui ai jamais vraiment fait confiance. Comment cela se fait il ?

Valérie : Touche encore à mon chaperon et je te grille jusqu'au sang ! Personne ne touche à mon chaperon, sale vermine mangeur d'ail des vignobles !

Mais qu’est ce qui s’est passé ? J’ai manqué quelque chose ? Pourquoi est ce que Valérie insulte notre professeur de la sorte ? Enfin, je ne vais pas lui jeter la pierre, moi non plus je ne l’aime pas. Mais elle risque d’avoir de sérieux ennuis. Je lève les yeux vers la sorcière en train de s’éloigner, tente de lui dire de se calmer mais n’y parvient pas. Je n’ai toujours pas retrouvé mon souffle. Pourquoi Valérie n’est elle pas essoufflée ? Je recoupe cette pensée avec ce qu’elle vient de dire pour comprendre qu’elle s’est faites porter. Je comprends sa répugnance. Alors il a finalement pris la situation en main…. Ce prof a quand même un instinct de survie. Je jette un coup d’œil au dehors. Le jour s’est levé. Tout juste dans les temps.

Invité

La jeune Valérie s'agitait en tous sens. Et soudain elle se mit à hurler. Elle semblait folle de rage et ses yeux lançaient des éclairs. Oui elle était folle furieuse. Je libérais Sanghiras. Cette dernière se laissa tomber au sol, soupirant.

« Touche encore à mon chaperon et je te grille jusqu'au sang ! Personne ne touche à mon chaperon, sale vermine mangeur d'ail des vignobles ! »

Je les lâchais, elle et sa bestiole. Je les observais, tandis que l'animal vociférait des paroles toutes aussi odieuses que sa propriétaire. La jeune Sanghiras nous observait en silence, reprenant son souffle. Elle tenait plutôt mal pour une demi-vampire. Je devrais l'entraîner. Ca ne lui ferait pas de mal. Peut être le Suprême devrait-il obliger ses étudiants à se remettre en forme. Qu'ils soient en forme physiquement. S'il y avait une guerre, ce serait plus prudent. J'irai lui proposer dès que la nuit serait tombée. Actuellement, j'allais me contenter de rester caché dans les ténèbres, pour ne pas finir en tas de cendres. Je connaissais encore mal Sekuen, et je tenais à ma vie. Je devais avant tout me renforcer pour combattre l'odieuse sorcière à la crinière dorée. Et peut être même me faire quelques alliés. Les deux jeunes filles étaient-elles fortes ? Je défroissais mes vêtements. Aller abordons un sujet.

« Et sinon Mesdemoiselles, depuis quand êtes vous à Sekuen ? »

Invité

Je décidais de me taire pour ne pas aggravais les choses, je m'enfonçais comme une pomme dans du caramel ou une mouche dans les entrailles d'une araignée où je ne c'est quoi encore, une chose est sûr ma langue est tellement longue qu'elle pourrait faire le tour du monde en quatre-vingts insultes. Enfin de toute façon je crois que je devrais y aller, aller quelque part, c'est tellement dommage que je ne puisse pas disparaitre et je ne crois pas que lui lancer une pierre servirait à grand-chose à part de recevoir une punition quelconque. Je pourrais laisser Sanghiras et le professeur discutait entre eux, oui m'éclipsait en douceur comme si j'étais pour une fois, pas si maladroite que cela. Je faisais semblant de n'avoir rien entendue, je m'abaissais par terre comme-ci je cherchais quelque chose puis sifflotant je partais autre part tant que ce n'est pas ici. Scyla quant à lui toujours à dire ce qu'il pense compris en me voyant qu'il fallait déguerpir lentement mais surement, alors il allât marcher à reculons vers moi tout en sifflotant lui aussi, comme-ci une personne venait de se faire écraser par un logo représentant un coeur géant. Bon, c'est pas comme-ci un singe nous pointait avec un fusil à pompe, mais j'ai quand même envie de fuir à toute jambe. Vous savez ce qu'on ressent quand on est petit et qu'on vient par accident d'enfermait son père dans les toilettes avec une chaise ? Non, ah bah je crois que c'est un moment de solitude... Ensuite que pourrais-je pensais d'autre, moins je pense moins je tombe dans la mélasse et plus je parle plus je m'enfonce dans un pot de confiture à la poire. Bon je devrais quand même dire quelque chose :

Euh... Pas trop bruler ?

Oh, c'est sûr que c'est vraiment le genre de choses à dire a quelqu'un. Par exemple, eh mère-grand pas trop séniles aujourd'hui ? Bon c'est pas comme-ci j'allais m'étonner de ce que j'allais dire comme bourde. Youpi youpla.

HRP : Désoler de l'absence et j'avais pas remarqué les nouveaux smileys !

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